Beauté Des Femmes Verlaine

poésie Textes : Texte A – Boris Vian, « A tous les enfants », chanson (1954-1959) Texte B – Théophile Gautier, Mademoiselle de Maupin, Préface (1835) Texte C – Victor Hugo, « Fonction du poète », Les Rayons et les Ombres (1840) Texte D- Paul Verlaine, « Soleils couchants », Poèmes saturniens (1886) Ecriture I. Après avoir lu attentivement les textes du corpus, vous répondrez à la question suivante (4 points) Comparez les points de vue de Victor Hugo (texte C) et de Théophile Gautier

Charles Baudelaire qui intègre la quasi-totalité de sa production poétique depuis 1840. C’est l’une des œuvres les plus importantes de la poésie moderne, empreinte d’une nouvelle esthétique où la beauté et le sublime surgissent, grâce au langage poétique. L'œuvre exerça une influence considérable sur Paul Verlaine, Stéphane Mallarmé ou encore Arthur Rimbaud. Baudelaire naît à Paris en 1821. Il perd son père à l’âge de six ans. Après des études secondaires à Lyon puis au lycée Louis le Grand, Baudelaire

Douleur » dans Spleen et Idéal avec « et qui toujours m’intimida, tu me rends l’égal de Midas ». De plus, il reprend des thèmes de la poésie classique comme en abordant un certain lyrisme avec la description de son amour pour les femmes comme dans le poème « A une passante » dans Tableaux

femmes, quand cesserez-vous d’être aveugles ? » : On observe un glissement du singulier au pluriel qui produit un effet d’élargissement, de généralisation plus propice à un appel à la révolte (=nombre).Il faut que les femmes s’allient pour réclamer leurs droits..Apostrophe lyrique avec l’usage de l’interjection « ô » + la réduplication des substantifs, palilogie « femmes », + modalité exclamative attestant l’exaltation de l’auteure pour

représentants de ce mouvement. Le poète est né à Paris le 9 avril 1821 et y est décédé le 31 août 1867. Il était considéré comme un poète maudit, tout comme Verlaine, ses œuvres n'ayant pas toujours été comprises et appréciées à leur juste valeur. En effet son recueil Les Fleurs du Mal lui a valu un procès, le 20 août 1857. Dans sa quête insatisfaite de la Beauté, Charles Baudelaire aspire à rendre toute chose belle, même les plus laides. Ce que l'on appellera plus tard l'esthétique Baudelairienne, deviendra

points d'interrogation qui permette un doute et où donc marceline prend position et qui mettent bien en valeur la présence du sujet écrivain. Le « je » qui est souvent utilisé par marceline et qui fait référence à l’affirmation de la part des femmes dans la poésie. Je peux aussi retrouver des traces de Marceline et de son ami dans le sujet écrivant avec des phrases comme « j'étais déjà l'aînée », ou encore avec la phrase « à ses doutes railleurs, je répondais trop bas » qui donne un extrait

d'Hélène ». Le poète auteur-compositeur interprète français quand à lui est né en 1921 et décédé en 1981 et a enregistré quatorze albums qui contiennent de nombreux succès populaires. Il a également mis en chanson des poèmes de Victor Hugo, Paul Verlaine, François Villon, Louis Aragon et même Paul Forti. Nous allons nous servir d'un poème du célèbre Pierre de Ronsard comme source de comparaison et d'éclairage des aspects de la chanson de Brassens. Il s'agit du poème IX du recueil « Les Amours »,

certains mouvements poétiques se sont presque entièrement basé sur cette « Forme », délaissant toute notion d’engagement, ou de revendication. Le Parnasse, un mouvement du XIXè siècle, prône l’art pour l’art, la retenue, l’impersonnalité et clame que la beauté existe par la forme. Dans « L’art » de Théophile Gautier (un des précurseurs du mouvement Parnassien), nous pouvons lire ‘’Les dieux eux-mêmes meurent Mais les vers souverains Demeurent’’. Les ouvrages parnassiens privilégient donc la forme par rapport

de tisser des liens entre le mal et la beauté, le bonheur et l'idéal inaccessible (À une passante), la violence et la volupté (Une martyre), entre le poète et son lecteur (« Hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère »), entre les artistes à travers les âges. Outre les poèmes graves (Semper Eadem) ou scandaleux (Delphine et Hippolyte), il a exprimé la mélancolie (Mœsta et errabunda) et l'envie d'ailleurs (L'Invitation au voyage). Il a aussi extrait la beauté de l'horreur (Une charogne). Son ouvrage

paraître très dissemblables étant donné que ces courants n’avaient pas vraiment les mêmes caractéristiques. Dans ce recueil de poésies, il y a 6 auteurs différents, pour permettre ainsi de varier le style. Cependant, nous avons fait le choix d’insérer Verlaine au début et à la fin de l’anthologie pour ainsi ouvrir et clore cet anthologie par le même style, les mêmes impressions données par ce poète. On aura ainsi la perception d’avoir effectué une boucle, boucle que l’on peut associer bien évidemment au