Beauté Cruauté Flaubert

cligner des yeux comme une bête morte» (page 87) - Antonio «regardait droit devant lui sans cligner des yeux comme un homme mort.» (page 88), il vit en fonction des désirs qui guident ses actes jusqu'à l'inconscience (page 21). Il est sensible à la beauté de la femme nue qui, avec quatre hommes, se flagelle dans une grange : «Antonio regardait la jeune femme. Elle avait de belles cuisses. […] Elle avait de belles fesses pleines et solides comme du fer. […] Du poil blond tout frisé lui remontait d’entre

broad, often satirical panorama of French society, particularly the petite bourgeoisie, in the years after the fall of Napoléon Bonaparte in 1815—namely the period of the Restoration (1815–1830) and the July Monarchy (1830–1848). Along with Gustave Flaubert (whose work he influenced), Balzac is generally regarded as a founding father of realism in European literature. Balzac's novels, most of which are farcical comedies, feature a large cast of well-defined characters, and descriptions in exquisite

que nous devons aux soins éclairés de MM. Paul Arbelet et Édouard Champion. Mais surtout, et comme tous les grands écrivains, Stendhal a rempli ses livres de luimême. C’est toujours de son propre cœur qu’un auteur tire les traits les plus profonds. Flaubert, avec ses grandes moustaches et sa voix bourrue, répondait volontiers quand on lui demandait quelle femme avait servi de modèle pour Mme Bovary : « Mme Bovary, c’est moi. » La boutade était renouvelée de Stendhal qui aimait affirmer que Julien Sorel

que nous devons aux soins éclairés de MM. Paul Arbelet et Édouard Champion. Mais surtout, et comme tous les grands écrivains, Stendhal a rempli ses livres de luimême. C’est toujours de son propre cœur qu’un auteur tire les traits les plus profonds. Flaubert, avec ses grandes moustaches et sa voix bourrue, répondait volontiers quand on lui demandait quelle femme avait servi de modèle pour Mme Bovary : « Mme Bovary, c’est moi. » La boutade était renouvelée de Stendhal qui aimait affirmer que Julien Sorel

pouvant amener à définir la dynamique thématique qui donnera la prémisse du film, notion que nous aborderons plus tard). Reprenons les exemples précédents. Nous pouvons dire que : Il était une fois dans l'Ouest traite de « la vengeance contre la cruauté ». Les Temps modernes traite de l'« industrialisation au détriment de l'humanité ». Marius traite de l'« amour s'opposant à la passion ». Même si cette opposition thématique n'apparaît pas toujours avec une évidence foudroyante lorsque l'on sort

qui voit ses yeux tombe mort». «Catoblépas», en grec, veut dire «qui regarde vers le bas». Cuvier a suggéré que le gnou (contaminé par le basilic et par les gorgones) inspira aux Anciens le Catoblépas. À la fin de “La tentation de saint Antoine” de Flaubert, on lit : «Le Catoblépas, buffle noir, avec une tête de porc tombant jusqu’à terre, et rattachée à ses épaules par un cou mince, long et flasque comme un boyau vidé. Il est vautré tout à plat ; et ses pieds disparaissent sous l’énorme crinière à

nous lui ferons l'amour.» (page 120). L'auteur a su s’imprégner de différents milieux. Il décrit les cités gitanes de Marseille, les voyages organisés, la fin de la sidérurgie en Lorraine. Surtout, il évoque l'émigration avec réalisme, humour et cruauté ; il critique la politique d'immigration française, l'expulsion des immigrants clandestins ; il dénonce le racisme ; il promeut la reconnaissance de l'autre. Ce voyage initiatique est une fable écrite avec impertinence, émotion, rapidité. Le roman

tu le veux, nous lui ferons lamour. (page 120). Lauteur a su simprgner de diffrents milieux. Il dcrit les cits gitanes de Marseille, les voyages organiss, la fin de la sidrurgie en Lorraine. Surtout, il voque lmigration avec ralisme, humour et cruaut il critique la politique dimmigration franaise, lexpulsion des immigrants clandestins il dnonce le racisme il promeut la reconnaissance de lautre. Ce voyage initiatique est une fable crite avec impertinence, motion, rapidit. Le roman a t couronn

rouge » (Bonnet, p.132). 43 Elle est donc une femme, oui, esquissée à gros traits et de manière grotesque, mais elle est l’antithèse de la femme ordinaire, et ne serait donc pas assimilée au jupon ni au « tout sous la main ». Elle est ce que Flaubert appelait « la femme bon garçon » (EM, p.452). Misogynie ? Il est difficile de faire abstraction de toutes les remarques d’apparence misogyne dans le roman de Huysmans. Pour plaire à la femme, il faut descendre à son niveau : « Il imprima un nouveau

civilisation était à même d’ incarner. En fait, ils quêtaient leurs propres chimères…Des fantasmes qui ont dû se satisfaire du spectacle d’une altérité radicale qu’ils nommèrent exotisme. Eux, ce sont les écrivains voyageurs du XIXe siècle. Chateaubriand, Flaubert, Lamartine, Ducamp, Nerval… Ils ont tous tentés cette route vers l’est dans l’espoir de retrouver en Egypte, au Liban, en Palestine, en Turquie, les origines du monde et les Muses, les émotions du temps jadis. Leur rêve immobile s’est vu confronté