Bardamu Médiocre

-ne supporte pas le « monde moderne » - Voyage au bout de la nuit , premier succès : c'est un roman qui met en scène Bardamu , ce personnage a énormément de points communs avec Céline mais il n'est pas autobiographique. C'est un roman moderne où le récit est oralisé. Situation du texte : Bardamu, après avoir connu le traumatisme de la guerre 14 , après avoir découvert les méfaits de la colonisation en Afrique il arrive au États-Unis. Il arrive à Détroit

au bout de la nuit de Louis-Ferdinand Céline, une vision très négative du monde transparaît. On parle de désenchantement voire de dégoût qu’éprouve le personnage-narrateur Ferdinand Bardamu à l’égart de l’univers qu’il traverse et dont le nom est tiré de l’auteur. Ce choix de nom du personnage est révélateur que Bardamu partage la même vision que son auteur Céline. Cependant, ces visions peuvent être également perçues par la description, le style d’écriture… car c’est le roman, dans toutes

lecture sur Voyage au bout de la nuit a été rédigée par un professeur de français. Sommaire de la fiche de lecture sur Voyage au bout de la nuit Résumé de Voyage au bout de la nuit Analyse des personnages Ferdinand Bardamu Robinson Molly Les femmes rencontrées par Bardamu Axes d'analyse Les idées existentielles de Céline Voyage vain et nuit symbolique Le langage de Céline Deux influences majeures : Freud et Semmelweis Extrait de la fiche de lecture Voyage au bout de la nuit

Grouppement de texte. Dans ce groupement de textes composé des « voyages de scarmentado » de voltaire, du « nègre de Surinam » extrait du livre « Candide » de Voltaire, de « voyage au bout de la nuit » de Louis-Ferdinand Céline, et de « La case de l'oncle Tom » de Harriet Beecher-Stowe, nous allons étudier l'image precue des esclaves par le lecteur. Dans « Le nègre de Surinam », dès les premières lignes l'esclave apparaît déjà mutilé, « I manquait a ce pauvre homme la jambe gauche et la main

également interne. L’auteur utilise de nombreuses phrases exclamatives pour faire passer au lecteur une certaine émotion comme dans la phrase « combien n’aurais-je pas donné à ce moment là pout être en prison au lieu d’être ici, moi crêtin ! ». En plus, Bardamu, le personnage principal est perçu comme un anti-héros. Et puis, venons-en au dernier texte, celui de Hugo, qui se démarque des trois autres textes traités précédemment. En effet, l’auteur nous présente la guerre comme un ballet, une

questionne : est-ce de l’ironie, une vision singulièrement noire ou bien un positionnement politique. Cela lui aura valu d’être très controversé à son époque, certains lui refusant même le titre d’auteur. Dans Voyage au bout de la nuit, le héros, Bardamu fait une critique des soldats se battant au front sans réfléchir. Ainsi, Céline critique l’époque même dans laquelle il vit, puisque tout au long du XXe, les conflits restent présents dans tous les esprits et sur tous les fronts. Il fait ainsi le

question : montrez comment la cruauté de la guerre est mise en lumière, puis les sentiments complexes de Bardamu. Proposition de corrigé : Le plan : deux axes proposés I La cruauté de la guerre II Les sentiments et la réflexion du narrateur Introduction La guerre de 1914-1918, qui bouleversa complètement les frontières européennes, fit disparaître quatre empires, causa plusieurs millions de morts, et laissa infirmes, blessés dans leur corps et leur âme, des millions d’hommes jeunes. Elle

du héros romanesques qui concernent tous les types de héros. Tout d’abord, le héros, quel qu’il soit, reste le personnage central du roman. C’est le pilier de l’histoire. Que ce soit un antihéros comme Don Quichotte, un héros réaliste comme Bardamu ou un héros irréaliste comme Harry Potter, le héros reste le personnage autours duquel se crée le roman et l’histoire. De plus, le héros romanesque ne donne pas forcément qu’une illusion réaliste ou irréaliste. Il peut parfois il y avoir confusion

est un roman écrit par Louis Ferdinand Céline, Il raconte l’histoire de bardamu, homme s’engageant dans l’armée durant la 1er guerre mondiale, qui connut beaucoup d’horreur dans sa vie et finit docteur dans les banlieues parisiennes. L’extrait se passe avant la fin du roman et il raconte en quelque sorte sa vie si médiocrement réussis. La question qu’on pourrait ainsi poser est donc comment l’auteur nous montre que Bardamu a vécu tristement ? Dans un premier temps, il faudra étudier que ce narrateur

callipyge de l’Américaine annonce l’intérêt que Bardamu a d’abord pour les choses physiques lorsqu’il arrive à New York. En effet, des son arrivée, Ferdinand a la folie pour cette ville « absolument droite » et « debout » (184) ainsi que pour « les promesses possibles de la figure et du corps parmi tant de blondes » (194). Même si Ferdinand est ravi d’être à New York et séduit par les apparences, Céline se sert des premières perceptions de Bardamu pour ridiculiser les Américains. Ferdinand se dit