Barbusse Le Feu

soldats, les hommes refusent, les femmes restent le « sexe faible ». Certains vont alors accuser les femmes d’avoir profité de la guerre pour acquérir un nouveau statut. L’écrivain Henri Barbusse condamne le caractère parfois trop joyeux de la vie à l’arrière du front, en faisant dire à l’un des personnages du Feu, « Y a deux pays. J’dis qu’on est séparés en deux pays étrangers : l’avant tout là-bas où il y a trop de malheureux ; et l’arrière ici où il y a trop d’heureux ». En 1918, lorsque les soldats

font que le lecteur s’identifie plus à la scène décrite. Cette compassion accordée à l’auteur du fait qu’il a vécu la scène est très importante dans la persuasion du lecteur. Par exemple, « Si c’est un homme » de Primo Lévi ou encore « Le Feu » de Henri Barbusse concernent tous les deux la guerre et ses horreurs, et tout deux nous dressent le portrait très précis du combat quotidien de la survie dans un camp de concentration dans un cas et des horreurs des tranchées dans l’autre. Ainsi, le récit

génération que La Comédie humaine comportera. » Zola : « Au bout, il y a la connaissance de l’homme. » Résultat : les romans donnent la possibilité de faire connaître et comprendre des mondes que l’on n’a pas connus (ex. : les poilus dans Le Feu de Barbusse, Les Croix de bois de Dorgelès). – Parfois le romancier peut scinder en deux personnages distincts les deux parts d’un même être → mise en évidence plus claire des composantes du « cœur humain ». Ex. : George et Lennie, dans Des souris et des

naturalisme s'insèrent dans le mouvement : aux États-Unis, Stephen Crane publie Maggie, fille des rues (1893). Une dernière phase du naturalisme commence enfin vers 1900, pour se prolonger peut-être jusqu'à la Première Guerre mondiale (Henri Barbusse, Le Feu, 1915). En 1900, Theodore Dreiser commence, avec Sœur Carrie, une carrière littéraire qui va faire de lui un représentant éminent du naturalisme nord-américain, et Thomas Mann publie, en 1901, Les Buddenbrook. En Amérique latine, on relève encore

des tableaux angoissants. La Partie de cartes, de Fernand Léger en 1917, montre des hommes devenus des pantins désarticulés, des robots froids. Des écrivains, comme Maria-Remarque (A l’Ouest rien de nouveau), Chevallier (La Peur) ou Barbusse (Le Feu), ou de simples poilus (Louis Barthas), témoignent également de leur expérience. 6.3 : les mentalités changent : la population souhaite s’amuser et les femmes revendiquent le droit de vote. 6.4 : l’Europe n’est plus la première grande

naturalisme s'insèrent dans le mouvement : aux États-Unis, Stephen Crane publie Maggie, fille des rues (1893). Une dernière phase du naturalisme commence enfin vers 1900, pour se prolonger peut-être jusqu'à la Première Guerre mondiale (Henri Barbusse, Le Feu, 1915). En 1900,Theodore Dreiser commence, avec Sœur Carrie, une carrière littéraire qui va faire de lui un représentant éminent du naturalisme nord-américain, et Thomas Mann publie, en 1901, Les Buddenbrook. En Amérique latine, on relève encore

Aragon, Le Roman inachevé Aurevilly, Les Diaboliques Austen, Orgueil et préjugés Auster, Brooklyn Folies Balzac, Le Chef-d’œuvre inconnu Balzac, Le Colonel Chabert Balzac, Le Père Goriot Balzac, Eugénie Grandet Barbery, L’ Elégance du hérisson Barbusse, Le feu Barjavel, Ravage Bauchau, Antigone Bazin, Vipère au poing Beaumarchais, Le Barbier de Séville Beaumarchais, Le Mariage de Figaro Beauvoir, Le Deuxième sexe Beckett, En attendant Godot Beckett, Fin de partie Beigbeder, Un roman français Bradbury

écrire, de juillet 1914 à novembre 1918, un journal qui lui tiendra lieu de confident et de soutien. Sous sa plume, tour à tour grave et sensible, se dessinent toute une époque, un village, ses habitants, des paysages... Cote : R DUB *** Barbusse, Henri.- Le feu.- PARIS: Flammarion, 2003.- Livre de poche, 6524.- Cote : R BAR F ** Japrisot, Sébastien.- Un long dimanche de fiançailles.-: Gallimard, 2004.- 18 x 11 cm.- Folio, Résumé : Cinq soldats français sont condamnés à mort en conseil de guerre

profondément à savourer leur vie en paix, comme une récompense bien méritée ( insistance po obtenir 1 retraite de combattant. II) Le mouvement combattant : * L’association de combattants, n’est pas l’héritier direct du groupe que formaient les soldats au feu ( ce st des asso / localité qui n’ont pas été constituées po prendre la suite de la vie militaire. Galement ce st des A.C de la même génération dc cela dvp des liens de camaraderie, mais ils n’ont ds la majorité des cas pas été au front ensemble.

violence des guerres au XX siècle alors que ce siècle aurait du s'apparenter aux progrès ? Chapitre 1 : Guerres et espoirs de paix. Voici 2 livres sur la 1ère guerre mondiale : Enrich Maria Remarque : A l'Ouest, rien de nouveau, 1929 et Henri Barbusse : Le feu, 1916 Introduction : cette introduction sera à construire à la fin du cours Mots clés : violence, guerre totale, expérience combattante, culture de guerre, économie de guerre, I - La première guerre mondiale : l'expérience combattante dans