Barbusse Le Feu

Aragon, Le Roman inachevé Aurevilly, Les Diaboliques Austen, Orgueil et préjugés Auster, Brooklyn Folies Balzac, Le Chef-d’œuvre inconnu Balzac, Le Colonel Chabert Balzac, Le Père Goriot Balzac, Eugénie Grandet Barbery, L’ Elégance du hérisson Barbusse, Le feu Barjavel, Ravage Bauchau, Antigone Bazin, Vipère au poing Beaumarchais, Le Barbier de Séville Beaumarchais, Le Mariage de Figaro Beauvoir, Le Deuxième sexe Beckett, En attendant Godot Beckett, Fin de partie Beigbeder, Un roman français Bradbury

Joie 1956 M. Paul GUTH Le naïf locataire 1955 M. Michel de SAINT-PIERRE Les Aristocrates 1954 M. Pierre MOINOT La Chasse royale 1954 M. Paul MOUSSET Neige sur un amour nippon 1953 M. Jean HOUGRON La nuit indochinois 1952 M. Henry CASTILLOU Le feu de l’Etna 1951 M. Bernard BARBEY Chevaux abandonnés sur nos champs de bataille 1950 M. Joseph JOLINON Les Provinciaux 1949 Mme Yvonne PAGNIEZ Évasion 1948 M. Yves GANDON Ginèvre 1947 M. Philippe HERRIAT Famille Boussardel 1946 M. Jean ORIEUX Fontagre

Montrer la spécificité du témoignage de guerre : les témoins sont aussi les acteurs des événements. On ne peut attendre d’eux la même objectivité que celle d’un témoin externe. · Supports  : · Le Feu, Henri Barbusse · La chanson de Craonne · Lettres de poilus. 1. Lecture du corpus 2. Présenter le corpus (nature, thème, époque etc…) et montrer sur quoi porte son unité (thèmes développés, écrits pendant la guerre, les sentiments ressentis par ces soldats)3

Voyage, Céline mentionne avec quelques variations : Henri Barbusse, Eugène Dabit, Paul Morand et Charles-Ferdinand Ramuz (cf. Damour, 1985, p. 43). Le roman Le Feu (1916) de Barbusse est un récit de la Grande Guerre. Si Céline s’en est assurément laissé inspirer pour son propre récit de guerre, l’auteur du Voyage va plus loin dans la transposition du réel que Barbusse dont la description du front ne va guère au-delà du simple naturalisme15. Barbusse s’applique bien à reproduire la langue populaire des

caractérisation désignant une chose importante). Véritable. C'est tout un art; c'est tout un programme*. Et sur ce tapis, il a vidé et étalé le contenu de ses poches. Et c'est tout un magasin qu'il couve des yeux avec une sollicitude de ménagère (BARBUSSE, Feu, 1916, p. 188). Loc. C'est toute une histoire*, tout un roman. Il préparait l'encre et le papier pour répondre. C'est toute une affaire et c'est tellement difficile (PEISSON, Parti Liverpool, 1932, p. 39). Rem. Certains ne font pas l'accord au

le Palais Bourbon est encerclé. L’ARAC a défilé du côté de la Madeleine ; de l’autre côté, l’UNC, Solidarité Française, les Jeunesses Patriotes, les Camelots du roi, comme l’ARAC, convergent vers un même point, la Concorde. Entre-temps, les Croix-de-feu progressent dans le faubourg Saint-Germain. On craint évidemment des batailles de rue entre tenants des ligues et PCF. On craint également une tentative de coup de force. Lorsque les gardes mobiles sont envoyés par Daladier, les manifestants, de

responsables militaires et politiques expriment leurs répulsions pour les horreurs de la guerre. Ces mémoires ou témoignages peuvent parfois servir d’arme politique. Nous avons deux exemples toute proportion gardée. Le feuilleton d’Henri Barbusse Le feu publié en 1916 et couronné par le prix Goncourt permis à son auteur de financer son association d’anciens combattants qu’il associa au Komintern[9]. L’autre exemple est celui d’Hitler à travers son ouvrage Mein Kampf, sorte de mélange entre souvenirs

Prusse souhaite réaliser cette union autour d'elle, aux dépens de l' Autriche qu'elle bat durant la  guerre austro-prussienne  de 1866 et de la France. Marqué par les innovations techniques concernant le feu, qui permet un tir plus rapide, et le déclin important de la place de la cavalerie, le conflit tourne rapidement à l'avantage des Allemands. Les Français sont défaits à plusieurs reprises début août, encerclés à  Sedan , l'empereur

le Palais Bourbon est encerclé. L’ARAC a défilé du côté de la Madeleine ; de l’autre côté, l’UNC, Solidarité Française, les Jeunesses Patriotes, les Camelots du roi, comme l’ARAC, convergent vers un même point, la Concorde. Entre-temps, les Croix-de-feu progressent dans le faubourg Saint-Germain. On craint évidemment des batailles de rue entre tenants des ligues et PCF. On craint également une tentative de coup de force. Lorsque les gardes mobiles sont envoyés par Daladier, les manifestants, de

guerre d’usure et une guerre industrielle. Les offensives ont pour objectif de saigner l’adversaire ou de percer le front. La bataille dure des mois comme à Verdun et dans la Somme. C’est un combat de matériel où les hommes subissent la puissance de feu des armes nouvelles : mitrailleuses, artillerie et gaz de combat. 2) Les rigueurs du quotidien et la mort de masse a- l’attente L’équipement : l’ensemble bleu et garance = cible : les soldats ne sont pas habillés pour cette guerre. L’armée