Autorisation Budgetaire

est théoriquement fondée sur des principes. Nous allons donc voir premièrement le but des politiques conjoncturelles grâce à l’étude du carré magique et des politiques contracycliques puis nous verrons les moyens d’actions à travers la politique budgétaire et la politique de désinflation compétitive. __________________________________________________________________________ La PEC comporte 4 objectifs qui sont la croissance et le plein emploi, la stabilité des prix et l’équilibre du commerce extérieur

instruments de la politique conjoncturelle portent essentiellement sur : - la politique budgétaire : c'est l'instrument privilégié des politiques de relance. En cas de récession, elle consiste à augmenter les dépenses publiques pour compenser la faiblesse des dépenses privées. L'utilisation de l'instrument budgétaire a été remise en cause à partir des années 70 en raison de l'aggravation des déficits budgétaires. - la politique de l'emploi : l'objectif prioritaire des gouvernements qui se sont succédés

établissements de crédits et en modifiant les taux directeurs, lesautorités monétaires peuvent stabiliser les prix, lutter contre le chômage et l’inflation et jouer sur l’équilibre de la balance commerciale. Ils suggèrent l’usage de la politique budgétaire (prélèvementsobligatoires, dépenses publiques) pour relancer la production en période de dépression ou pour la ralentir afin de lutter contre l’inflation et les déséquilibres extérieurs. Les keynésiensconsidèrent aussi qu’une baisse trop importante

Cela inquiète le gouvernement et les entreprises car l’augmentation du crédit pèse sur leurs rentabilités. La demande est freinée donc il y a une récession économique (baisse de la croissance) et le chômage arrive. 4.2 La politique budgétaire Elle fonctionne en limitant ses dépenses et donc sa demande. Elle repose sur la politique restrictive en limitant ces interventions, ce qui permet à la fois de limiter le déficit et l’endettement public et la politique de rigueur avec le pacte

investissement des entreprises . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Investissement résidentiel et marché du logement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Politique budgétaire . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Viabilité budgétaire : les enjeux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Évolution des paiements courants . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .

politiques monétaires expansives. 2. La Politique Budgétaire La politique budgétaire est une politique conjoncturelle qui a pour objectif d’agir sur les fluctuations économiques, en faisant volontairement varier les dépenses et les recettes publiques. Les pouvoirs publics veulent agir ainsi sur la demande globale et sur l’activité économique en général. Si l’activité économique est trop faible, il est possible de mener à bien des politiques budgétaires de relance. Ce principe est d’accroître volontairement

pourrait même y avoir un risque de déflation sur la zone euro si la demande sur cette région continuait à faiblir. Pour sortir l'Europe de cette situation économique médiocre, le FMI a clairement une vision keynésienne, il préconise une politique budgétaire de relance par une augmentation des investissements publics. Cette politique pourrait à court et moyen terme entrainer une hausse de la croissance, maintenant ainsi un ratio dette publique/PIB stable. En terme de politique monétaire, il faut continuer

de l'inflation. L'accumulation des déficits provoque un accroissement de la dette du pays et, en conséquence, une augmentation des impôts pour en payer les intérêts. A moyen et long terme, la restauration des équilibres budgétaires et du compte de transactions courantes de la balance des paiements favorise la confiance dans l'économie, la stabilité du taux de change, l'investissement des capitaux étrangers, la compétitivité économique et donc le niveau de l'emploi. Exemples

équilibre commercial de l’autre. Les questions à se poser sont multiples : comment le choix va-t-il agir sur les fluctuations économiques ? Quelles seront les conséquences pour l’Etat ? Et pour la population ? Qui favoriser de la politique budgétaire ou monétaire ? Pour répondre à ces interrogations, nous allons d’abord voir l’impact des politiques de relance, fortement utilisées durant les trente glorieuses, puis nous verrons l’influence des politiques de rigueur, dont la France et

macroéconomiques. Elles sont essentielles au moment des retournements de la conjoncture. Politique budgétaire et Politique fiscale La politique budgétaire est l’instrument privilégié des politiques de relance. En cas de récession, elle consiste à augmenter les dépenses publiques pour compenser la faiblesse des dépenses privées. Elle modifie l’effet multiplicateur keynésien. Politique fiscale et budgétaire peuvent être rapprochées : la politique fiscale recouvre l’ensemble des mesures allant de la création