Au-delà de la gloire

d’une vie après la mort. Ce qui veut dire qu’ un athée ne peut pas être heureux étant donné qui ne crois pas en Dieu et donc à la vie après la mort car tt ce qu’il attend après la vie c’est la mort tandis que les croyants, après la vie, c’est l’au delà qui les attends. L > Alors moi je ne suis pas du tout d‘accord... En effet, la religion est pour moi quelque chose de superflu, c'est une sorte d'illusion de nos désirs. Nous avons besoin de réconfort, nous inventons quelqu'un qui pourrait nous

religieux. Charles Taylor, Les sources du moi, 1989 : « la vie ordinaire » est considérée au MA comme un domaine profane et va être valorisée à partir de la Réforme et donc moins enserrée par la religion. Au 17ème, les valeurs aristo tradi comme la gloire au servie de Dieu et de la Patrie st en perte de vitesse face à la force montante de la bourgeoisie. « Pour elle, la vie pleinement humaine se défini maintenant par le travail et la P° d’une part, par le mariage et la vie familiale d’autre part »

demodules audiovisuels et multimédia qui nous font entrer de plain-pied dans le passé et le présent de l’Olympisme, ses heures de gloire et ses heures noires, ses aspirations, ses réalisations. Historique, sociologique, politique, elle fait la part belle aux histoires personnelles de nombreux sportives et sportifs. Des êtres vaillants qui ne sont pas seulement allés au-delà d’eux-mêmes pour un record, mais pour un combat humanitaire. En prenant des risques, ils ont transmis leur flamme de justice.

dont l'essence du décor et sa mise en scène ne visent qu'à rehausser la gloire royale. Versailles est l'instrument de l'idéologie du régime, vitrine de l'idéal classique par la clarté, la mesure, et l'obéissance aux règles, comme dans les arts et les lettres. L'art classique s'appuie sur le culte de l'Antiquité, le souci de la clarté et de la rigueur, il vise le grandiose;les arts, la littérature sont au service de la gloire du règne. Versailles est un outil politique: la Cour y réside à partir de

« HYMNE A LA BEAUTE » commencer ds l’intro par dire ce qu’est un hymne et garder le parallélisme pour la CCL. I. un chant sacré à la gloire de la Beauté. 1- poésie formelle qui glorifie une certaine idée de la Beauté : - succession de quatrains, alexandrins => strophes traditionnelles. - nombre symbolique, le chiffre 7 représente une forme de perfection inspirée de la Bible. - Une certaine rigidité qui apparente ce poème au Parnasse

Louis XIV impose l’idée de la domination d’un seul (prestige du monarque, centralisation des talents, des charges et donc des richesses, à la cour de Versailles). La seule gloire dispensée est celle du monarque. Ainsi, les personnages de RACINE ne sont plus de vaillants héros recherchant l’exploit chevaleresque qui fondera leur gloire et assurera leur conquête amoureuse (comme chez CORNEILLE par exemple) • Le refus des faits d’actualité : aucun des événements importants de l’époque (Guerre de Hollande

que le désir dirige notre vie, puis nous démontrerons que le désir peut être source de désastre et pour finir nous montrerons que nous pouvons maîtriser nos désirs. Le désir anime l'essentiel d'une vie humaine, désirs amoureux, de conquête, de gloire... conscient ou inconscient il font qu'une vie vaut la peine d'être vécue. Sans désirs, nous perdons le goût de vivre, nous sommes condamnés à l'ennui ou à la mort. Or il faut souligner que seul l'Homme désire, car Dieux parce qu'il est parfait, ne

faire indigne de mon rang. Je te répondrais bien que dans les belles âmes Le seul mérite a droit de produire des flammes, Et si ma passion cherchait à s’excuser, Mille exemples fameux pourraient l’autoriser. Mais je n’en veux point suivre où ma gloire s’engage, Si j’ai beaucoup d’amour, j’ai bien plus de courage, Un noble orgueil m’apprend qu’étant fille de Roi Tout autre qu’un Monarque est indigne de moi. Quand je vis que mon cœur ne se pouvait défendre, Moi-même je donnai ce que je n’osais

issu d’une race qu’ont illustrée une imagination vigoureuse et des passions ardentes. Les hommes m’ont appelé fou ; mais la Science ne nous a pas encore appris si la folie est ou n’est pas le sublime de l’intelligence, — si presque tout ce qui est la gloire, si tout ce qui est la profondeur, ne vient pas d’une maladie de la pensée, d’un mode de l’esprit exalté aux dépens de l’intellect général. Ceux qui rêvent éveillés ont connaissance de mille choses qui échappent à ceux qui ne rêvent qu’endormis. Dans

donc exprimer leur mal de vivre et leurs souffrances affectives en méditant sur la mort, sur Dieu, sur l'amour et la fuite du temps, sur la nature et sur la gloire, et au-delà de ces thèmes lyriques traditionnels sur la fonction du poète (Hugo) et sur une perception plus originale du fantastique avec Nerval, Nodier ou Aloysius Bertrand. Au-delà des thèmes pas toujours novateurs[réf. nécessaire], les poètes romantiques revendiqueront un assouplissement de l'expression versifiée à la recherche d'une