Arrêt 7 Avril 2004

lorsque la Cour rend un arrêt de rejet, le demeure - mais partiellement - en cas de cassation. La reconnaissance à la CCJA de la qualité de juridiction de cassation tient aussi en ce qu'elle est juge de l'arrêt et non de l'affaire cette affirmation, qui est également totalement vérifiée en cas de rejet du pourvoi, le demeure -mais partiellement- en cas de cassation. En effet, après la cassation, la CCJA va entreprendre de remplacer la décision annulée par son propre arrêt, ce qui est propre à une

Rapport Annuel 2004 Sommaire ® 01 02 04 05 08 09 12 14 16 24 28 30 32 34 36 42 50 58 63 64 Profil Message du Président Conseil d’Administration Gouvernement d’entreprise Comité de Direction L’Oréal en chiffres L’Oréal sur dix ans Un portefeuille de marques unique au monde Dynamique internationale Recherche et Développement Production et Technologie Relations humaines Développement durable Cosmétique Produits Professionnels Produits Grand Public Produits de Luxe Cosmétique Active Dermatologie

Résumé des grands arrêts de la jurisprudence administrative ***TC, 8 février 1873, Blanco Fixe les principes fondamentaux du droit administratif en soulignant clairement l’autonomie du droit de la responsabilité administrative. La compétence du juge administratif provient de la nature du litige (litige en relation avec une gestion publique). *TC, Société immobilière de St Just, 1902 possibilité de recourir à l'exécution forcée d'une décision si et seulement si il y a nécessité d'y recourir

règlement Rome II. Cette loi peut être évincée en application de la clause d’exception, prévue au paragraphe 5. La difficulté de cet article réside dans l’identification de la prestation caractéristique pour certains types de contrats. Dans un arrêt du 16 avril 2008, la Cour de cassation est venue confirmer sa jurisprudence en matière de contrat de concession exclusive. En l’espèce, la question de la loi applicable était subsidiaire à la détermination de la juridiction compétente. Pour connaître le

Document 5 : Civ. 2ème, 18 septembre 2003, JCP 2004, I, 101, p. 21, obs. G. Viney ; RTDCiv. 2004, p. 108, obs. P. Jourdain Document 6 : Civ. 2ème, 25 octobre 2001, JCP 2004, RTDCiv. 2002, p. 108, obs. P. JourdainComparer ces trois arrêts. Quel est le régime juridique des choses inertes ? Au regard des arrêts du 24 février 2005 (n° 03-13536 et n° 03-18135), quel est le tempérament jurisprudentiel sur la question ? 1° Comparaison des arrêts : La première décision en date du 20 janvier

entaires p ar A. MASSET, in Le p oint su r le d roit p énal, C.U.P., vol. 37, février 2000, p . 248-267, ainsi qu e P. LEWALLE, La resp onsabilité civile p ersonnelle d es agents d e l’ad m inistration, in Liber am icoru m Michel Coip el, éd . Klu w er, 2004, p . 325-346. 3 un dol spécial, et, d'autre part, les infractions non intentionnelles qui se satisfont de comportements involontaires ou qui sont la résultante d'un défaut de précaution ou de prévoyance ; la présente contribution adopte cette summa

moins 5 ans d'emprisonnement et pour une durée de 12 heures maximum renouvelable une fois (NB : avant la loi Perben I du 9 septembre 2002, cette retenue était de 10 heures au plus, renouvelable une fois, en cas de délit ou crime punissable d'au moins 7 ans d'emprisonnement). Cette mesure de rétention n'est possible que s'il existe des indices graves ou concordants laissant présumer que le mineur a commis ou tenté de commettre un crime ou un délit et après présentation de ce dernier devant le magistrat

architectes André (né à Montreux le 19 janvier 1914 et mort à Hoeilaart le 2 avril 1988) et Jean Polak (né à Montreux le 13 juin 1920 et mort à Uccle le 16 février 2012). 7) L'Atomium n’était pas destinée à reste au-delà de l’Exposition Universelle en 1958 mais grâce a sa popularité et son sucées fait rapidement un élément d u paysage de Bruxelles. 8) L'utilisation principale du nucléaire c est l’énergie nucléaire .Le 26 avril 1986 la centrale nucléaire de Tchernobyl explose et le 11 mars 2011 un séisme

LE REMPLACEMENT DEFINITIF DU SALARIE MALADE Avant => maladie du salarié =Force majeure (Soc, 14 déc. 1990) * Rupture du contrat de travail SANS indemnités (Soc, 7 mars 1962) Loi du 7 janvier 1981 : « suspension du contrat de travail » si accident du travail Soc, 16 juillet 1987 => maladie non prof = suspension du contrat Loi du 12 juillet 1990 (L.1132-1) : aucun salarié ne peut être licencié en raison de son état de santé ou de son handicap SAUF si inaptitude constatée par le

publiques et les personnes privées • TC, Centre régional de lutte contre le cancer « Eugène Marquis », 20 novembre 1961 : un établissement qui est régi par des règles de droit privé est de la compétence du JJ : établissement privé. • CE, Chevassier, 4 avril 1962 : les personnes privées peuvent exercer une mission de service public mais les rapports entre ces organismes et leur personnel est de nature privée. B. Les personnes publiques a. Les collectivités locales • CE, Commune de Fauillet et autres