Arret 27 Mars 1991 Dol

Preuve par tout moyen. §2 : Le dol Dol (art 1116 CC) : toutes les tromperies lors de la négociation et de la conclusion du contrat. Le dol (élément intentionnel) est un délit civil, une faute de la part de l’auteur du dol et un vice du consentement. Cette règle relève du pce général selon lequel la bonne foi domine le droit contractuel des négociations à la rupture. 27/10 A. Notion 1er élément constitutif du dol : la malhonnêteté du contractant. - Le dol a un aspect délictuel au sens civil :

juridictions crées a cette période et existent toujours, ex : création des tribunaux de districts, auj. : TGI Création de la justice de paix auj. les TI survivance de tribunaux de l’Ancien Régime prennent la dénomination des tribunaux de commerce Lois du 27 novembre et 1er décembre 1790 : création de tribunaux de cassation institués juridictions suprême qui avait pour fonction de sanctionner la violation des règles de droit et uniformiser l’interprétation aujourd'hui la cour de cassation : sanctionne

cas, on dit qu'il a réalisé une bonne affaire, le droit ne sanctionne pas. Le droit admet de tirer un certain différenciel dans une proportion qu'il estime raisonnable. Si la proportion paraît déraisonnable, le droit sanctionne (ex : la lésion, le dol, la violence). Comment en pratique rencontre-t-on des hypothèses d'enrichissement sans cause sans qu'il y ait eu des manœuvres, violences ou autres moyens de pression ? Il peut y avoir des enrichissements tout à fait légitimes : donations (le

avis le 23 mai 1984; il n'a pas répondu à la question mais il a décidé que l'embryon ou le foetus est une personne humaine potentielle dont le respect s'impose. Il a fallu attendre que le Conseil Constitutionnel statue en matière de loi bioéthique le 27 juillet 1994 mais s'est posé le problème de respect de l'individu avec l'article 16. Selon le Conseil Constitutionnel, le principe du respect de tout être humain dès le commencement de la vie n'est pas applicable aux embryons in vitro. Le principe a

clause de non-concurrence. p.21 A – Clause justifiée par les intérêts légitimes de l’entreprise. p.22 B – Clause limitée dans le temps et l’espace. p.26 C – Clause limitée quant à sa portée : l’exercice normal de la profession. p.27 D – Le critère de proportionnalité : quatrième condition de validité ou p.28 nouveau critère unique ? §3 – Principes propres à la clause de confidentialité. p.32 A – Intérêt de la clause de secret. p.33 B – Objet de la clause

règles de responsabilité sont bien particulières). Quelle qualification donner ? L’enjeu de la qualification est très concret Arrêt chambre commerciales 3 avril 2001 (TD1), la cour de cassation estime qu’il s’agit d’un contrat de déménagement, c'est-à-dire un contrat général d’entreprise. Donc on n’applique pas les règles spéciales du contrat de transport. Puis le 10 mars 2004, la qualification a changé en faveur du contrat de transport, mais pour tout le contrat. * La qualification distributive

contrat de tonnage n'est donc pas superposable au contrat d'affrètement, son analyse plus poussée nous amène à appréhender son caractère hétérogène. Le contrat de tonnage : une abstraction. ) Le contrat de tonnage : un contrat cadre. Dans son arrêt du 30 juin 1977, la cour d'appel de Rouen avait analysé le contrat de tonnage comme une promesse synallagmatique de conclure le nombre de contrats nécessaires à l'exécution des obligations assumées par l'une ou l'autre des parties. Dans ce cas de

s obligations suisseLoi fédérale complétant le Code civil suisse (Livre cinquième: Droit des obligations) du 30 mars 1911 (Etat le 1er janvier 2012) 220 L’Assemblée fédérale de la Confédération suisse, vu les messages du Conseil fédéral des 3 mars 1905 et 1er juin 19091, arrête: Code des obligations Première partie: Dispositions générales Titre premier: De la formation des obligations Chapitre premier: Des obligations résultant d’un contrat Art. 1 A. Conclusion du contrat I. Accord des

conventions se heurtent a une question qui est la question de la hiérarchie des normes. En effet, que se passe t-il lorsqu’on a le choix entre plusieurs conventions ? Exemple : arrêt cour de cass 1er ch.civ. 17 fév. 2004 : le conflit en l’espèce naissait d’un cohabitation ou pas franco-algérienne. Convention du 27 août 1964, cette convention reconnaissait un certain nombre d’institution algérienne dans la vie de tous les jours et permettait une juxtaposition entre droit français et algérien

mai 1872, abandon du système de la justice retenue: système de justice déléguée (= donnée à une véritable juridiction). Mais, théorie du ministre-juge persiste (en 1er ressort, ac possibilité de faire appel devant une jur°). CE, 13 décembre 1889: arrêt CADOT. Code de justice administrative (CJA), article L2 : " les jugements sont rendus au nom du peuple français. " → justice déléguée, ac un véritable ordre de juridiction indépendant. L'existence d'un OJA est auj constitutionnellement consacrée