Arnolphe Est Il Que Comique

et montre que l’amour pousse à commettre des actes insensés. De plus, l’amour permet aux écrivains d’inventer des personnages hors du commun, pour lesquels les spectateurs éprouvent des sentiments partagés. Prenons par exemple, Arnolphe, le héros comique malgré lui de l’Ecole Des Femmes de Molière. C’est un personnage hors du commun car ce qu’il l’effraie le plus au monde, c’est d’être trompé par une femme c’est pour cela qu’il élève Agnès en faisant tout pour qu’elle ne soit ni instruite

dans un seconde partie qu’il n’en dépend pas seulement et enfin nous verrons si l’on peut traiter de toutes situations dans tous registres Le genre ne dépend pas vraiment de la situation, en effet dans L’Ecole des femmes de Molière la scène où Arnolphe tente de persuader Agnès de l’aimer à tendance a contenir du registre pathétique or on y trouve aussi du registre tragique qu’on ne pense pas trouver dans une scène de dispute amoureuse. De même dans Mithridate de Jean Racine lorsque le mensonge

de Molière, la religion jouait un rôle plus important c’est pourquoi cette fin était plus crédible. Tout cela se ressent dans l’interprétation du à une idéologie différente du metteur en scène. La version Delcampe s’attarde davantage sur l’aspect comique des différents personnages, sur l’inconstance joueuse et égoïste de Don Juan. Alors que l'adaptation de Jacques Weber donne à voir un Don Juan vieilli qui est très manifestement " ce grand Seigneur méchant homme " que décrit Sganarelle. E n outre

le père de Valère et de Mariane, jadis perdus lors d’un naufrage ; il n’y a donc plus d’obstacles aux mariages. En échange de Mariane, Cléante remet à Harpagon la cassette que son valet, La Flèche, avait volée. L’Ecole des femmes Arnolphe se vante d’être à l’abri du cocuage ; de fait, se croyant plus malin que ses concitoyens, il se propose d’épouser sa pupille qu’il a fait élever, dès l’âge de quatre ans, dans l’absence de toute instruction : il espère s’être préparé ainsi une femme

le dit Stéphane Braunschweig, produit un comique teinté d’effroi et, en même temps, crée une sorte d’ironie sur lui-même ou encore Suzanne Aubert, qui incarne Agnès et qui arrive à capter l’attention de la salle malgré le peu de temps de parole qu’elle possède et à exprimer, durant ce court laps de temps, sa volonté d’émancipation. Puis, dans le même genre, on retrouve la mise en scène de Jacques Lasalle toujours fidèle à la pièce originel avec un Arnolphe qui s’impose, occupe pleinement l’espace

écho à l’évolution profonde du XVIIème siècle. L'école des femmes constitue un tournant dans l’œuvre de Molière : s'éloignant des farces de ses débuts, il s'engage dans la satire de mœurs et de caractères qui donnera ses lettres de noblesse au genre comique. Le débat suscité par L'école des femmes montre à quel point la pièce innove et bouscule les idées reçues. Le thème du mariage est relié à celui de l'éducation féminine, objets de débats dans la société mondaine dont les œuvres de Molière et d'autres

d'Harpagon avec Mariane, elle va jouer un rôle d'opposant aux projets de Cléante. 8. À la fin de la scène 5, Frosine a-t-elle gagné la partie ? Relevez une phrase montrant qu'elle a d'autres cartes dans son jeu. La 3e partie repose sur le duel comique qui oppose Frosine à Harpagon. La demande d'argent de Frosine à laquelle Harpagon oppose une fin de non recevoir qu'il accompagne de mimiques expressives s'apparente à un dialogue de sourds : la demande se fait de plus en plus précise et de plus

incite à se corriger. Comme par exemple dans L·Ecole des Femmes où Molière dénonce une société où l·amour semble être un pêché, les femmes n·ont pas le droit de se cultiver et sont soumises au mariage forcé. Agnès représente la femme soumise et Arnolphe, un vieillard grincheux pathétique dédaignant les femmes d·esprit. Vient ensuite la tragédie à l·opposé de la comédie est une pièce mettant en scène des personnages nobles, voire mythiques, dont la vie est frappée par le destin qui s'acharne contre

réflexion. D’autre part, nous pouvons remarquer que les paroles sont parfois indispensables pour comprendre certains détails, certaines particularités des pièces de théâtre. Tout d’abord en ce qui concerne le genre de la comédie, certains aspects du comique peuvent être perçus uniquement grâce à la parole. Prenons l’exemple des jeux de mots, sans paroles, ils n’existeraient pas. En effet, dans la pièce de Molière, Le bourgeois gentilhomme, on trouve un jeu de mot établi sur le rapport entre le nom d’un

tout ceci reste à nuancer: les aspects comiques ne servent-ils qu'à faire rire, à amuser le public? Il est vrai que le registre comique au théâtre est propice à la détente, à l'amusement. Cependant lui attribue t'on une simple fonction? Ne faut-il pas sous-entendre, grâce à une "deuxième" écoute plus attentive, un sens plus profond, masqué par cette comédie ou, au contraire, mis en valeur par celle-ci? Développement Pourquoi existerait-il un registre comique si ce n'est pour faire rire? Nous verrons