Aristophane

LE COMIQUE I) Histoire de la comédie * Dans sa Poétique, Aristote oppose la comédie au genre noble de la tragédie. Pourtant, la comédie s’inscrit dans une longue tradition provenant de l’Antiquité gréno-latine (Aristophane, Térence ou Plaute). Elle suscite le rire, par opposition à la tragédie qui doit susciter de la terreur, de la pitié. * L’héritage de la farce. Au Moyen Âge, la farce des tréteaux et les différents spectacles de foire utilisent des procédés comiques simples, grossiers, destinés

moins inspiré d'une éthique particulière à eux ou à des groupes. Le théâtre, tout en étant un déroulement d'action et d'images plus ou moins merveilleux, propres à amuser ou à terrifier, a pris un caractère pédagogique, philosophique et social. Aristophane a fait dire à Eschyle, dans la comédie des Grenouilles : « Le poète est à l'âge viril ce que l'instituteur est à l'enfance ; nous ne devons rien dire que d'utile ». Victor Hugo n'était pas moins convaincu de la puissance éducative et du rôle social

grecque désigne tt d’abord les chants donnés lors d’une sorte de carnaval en l’honneur du dieu du vin.Les protagonistes st des hommes, portent des masques. Genre connait son apogée (Le plus haut point où une chose puisse arriver) à Athènes avec Aristophane. Cet héritage constitue le fonds du théâtre comique latin (la comoedia palliata, jouée par des acteurs portant le vêtement grec, le pallium), avec Plaute et Térence. La comédie consacrée à la peinture de mœurs romaines (comoedia togata, jouée

la création du misthos (indemnité qui rémunère les citoyens qui exercent des fonctions politiques) par Périclès en 450 avant J.-C., la richesse facilite la participation à la vie citoyenne. Les philosophes Platon et Aristote, ainsi que l'auteur Aristophane dénoncent la lenteur de la prise de décision, la manipulation du peuple (démagogie) et les dépenses excessives. Enfin, avec seulement un dixième de la population ayant accès à la citoyenneté, la démocratie est inégalitaire : en effet, les femmes

spectateurs. ORIGINES / théâtre apparu en Grèce vers le V° siècle av JC, et dont les origines sont religieuses ( fêtes de Dionysos) et politiques ( démocratie primitive) avec des auteurs tels que Eschyle, Sophocle et Euripide pour les tragédiens, et Aristophane auteur satirique, puis transmis à Rome ( Plaute, Térence, Sénèque). A la chute de l’Empire romain, au V° siècle de l’ère chrétienne : ensevelissement de tt un univers culturel / disparit° apparente du moins de tte pratique théâtrale entre le V°

pessimiste - regard nostalgique Selon lui : - le désir est souffrance ; - quand le désir cesse, cela amène l’ennui. Mais, le désir lui est préférable qu’à l’ennui, seulement par défaut. Souffrance liée au manque (comme l’amour). Mythe Aristophane – Platon => Chacun cherche son autre moitié dans le but de retrouver l’amour que nous avons perdu il y a longtemps. - Relation homme/femme : sexualité, génération entièrement visée - Relation homme/homme : valorisée par les Grecs, mène à l’intellectualité

humor, lui-même emprunté du français « humeur ». L'humeur, du latin humor (liquide), désignait initialement les fluides corporels (sang, bile…) dont on pensait qu'ils influaient sur le comportement. Les premières traces de l'humour, c'est chez Aristophane, Ve siècle avant J.-C., qu'on les retrouve. Déjà, à cette époque, les auteurs tournaient en dérisions les hommes politiques ou les personnalités d'Athènes, dont Socrate et Périclès. Ensuite, on se déplace à Rome, Sous l'empire romain, pour faire

création du misthos (indemnité qui rémunère les citoyens qui exercent des fonctions politiques) par Périclès en 450 avant J.-C., la richesse facilite la participation à la vie citoyenne. Les philosophes Platon et Aristote, ainsi que l'auteur Aristophane dénoncent la lenteur de la prise de décision, la manipulation du peuple (démagogie) et les dépenses excessives. Enfin, avec seulement un dixième de la population ayant accès à la citoyenneté, la démocratie est inégalitaire : en effet, les femmes

d'amour comme fusion. Empédocle imaginait l'amour et la haine comme les deux forces originaires de l'être. L'amour, pour lui, est le contraire de la haine qui sépare. L'idée d'unité, voire de fusion, sous-tend sa notion d'amour. Dans la même veine, Aristophane, dans le Banquet de Platon, imagine l'amour comme une aspiration à l'unité originelle. Étendu à sa dimension cosmique, l'amour ne semble plus qu'un leurre pour nous faire participer à la dynamique cosmique. Shopenhauer, inspiré par la Bouddhisme

désirer, car l’Homme est un être fini car nous sommes toujours en manque de quelque chose.  Nous allons de désir en désir car quand nous nous satisfaisons d’un désir, tout d’un coup nous désirons autres chose et ainsi de suite ; comme le souligne Aristophane dans Le Banquet avec le mythe de l’androgyne, qui après s’être fait couper en deux, par les dieux, veut toujours rester « collé » avec sa moitié puis quand sa moitié meurt, il va chercher une autre moitié, une mâle ou une femelle jusqu’à ce que