Arabe dialectal

et ne dispose dans ces cas d'aucune voie de recours. Article 9 : (modifié, art 2, loi n° 72-03 promulguée par dahir n° 1-04-23 du 3 février 2004 - 12 hija 1424, publié au B.O n° 5184 du 5 février 2004 - 14 hija 1424 édition générale en langue arabe et au B.O. n° 5358 du 6 octobre 2005 édition en langue française). Doivent être communiquées au ministère public, les causes suivantes : 1° Celles concernant l'ordre public, l'Etat, les collectivités locales, les établissements publics, les dons

de Mouhammad al-Qàdiri. Traduction. t. I de l'an 1001 (1592 J.-C.) à l'an 1050 (1640 J.-C.), p. 1-400. Archives marocaines, t. XXII-XXIII (1914) MICHAUX-BELLAIRE (E.). - Les Habous de Tanger. Registre officiel d'actes et de documents. I. Texte arabe. II. Analyses et extraits, p. 1-330 et 1-250. Archives marocaines, t. XXIV (1917) MICHAUX-BELLAIRE (E.). - Nachr al-Mathânî de Mouhammad aI-Qâdiri. II. De l'an 1051 (1641 J.-C.. à l'an 1100 (1688 J.-C.), p. 1-464. Archives marocaines, t. XXV

les hommes.- Tunis : Centre de publication universitaire, 2007.- 127p.- (collection Itinéraires). Autres Q-517 Belhassen (Mohamed Raouf) La Tunisie au fil des randonnées : récits de voyages au 18ème, 19ème et 20ème siècle.- Tunis : Maison arabe du livre, 2007.-261p. R-257 Géroudet (Noelle) ; Ménard (Hélène) L’Afrique romaie :de l’Atlantique à la Tripolitaine (69-439).-Paris : Edition Belin, 2005,- 231 p.  D-217 Salama, Pierre, Les voies romaines d’Afrique du Nord, Imprimerie officielle

Pays 1- ARABIE SAOUDITE L'Arabie Saoudite porte comme dénomination officielle le nom de royaume d'Arabie Saoudite. C’est un État souverain arabe islamique avec l'islam comme religion. L’Arabie Saoudite est un pays du Proche-Orient occupant la plus grande partie de la péninsule Arabique. Mais c’est aussi le deuxième plus vaste pays du monde arabe, après l'Algérie. Il couvre une superficie de 2,2 millions de km² (quatre fois la France). Il est limité au nord par la Jordanie, l’Irak et

érigées à cette période-là. L’apparition progressive et récente des mosquées dans le paysage bamana Les mosquées sont actuellement présentes dans de nombreux villages bamana (90% des villages enquêtés, cf. carte n°2). Toutefois, la mosquée (litt, arabe masjidé : "lieu de prosternation") n'est pas un sanctuaire dans le sens où Dieu n'est pas supposé s'y trouver. Elle est conçue comme un lieu de rassemblement de la communauté, particulièrement pour la prière rituelle du vendredi midi. Quelques

(02) grands évènements à savoir le jihad d’Usman Dan Fodio et la conquête coloniale. Notre exposé va s’intéresser sur le premier évènement qui est celui du Jihad mené par le Shehu de Sokoto et son impact dans l’Ouest nigérien. Le jihad est un mot arabe qui signifie tout effort dans la voie de Dieu. Il exprime aussi une démarche individuelle ou collective de recherche de la perfection pour étendre l’islam (paix, attitude de soumission et d’obéissance totale à Dieu) par la force. En effet, l’un des

------------------------------------------------- La dynastie soninké[modifier] D’après le « Tarikh es Soudan », "histoire du Soudan" en français, le Ghana aurait été fondé au IVe siècle par le peuple noir de cultivateurs, les Soninkés. Au VIIe siècle, l’astronome arabe Al Farazi cite le premier le « Ghâna, pays de l’or ». En 734, les premiers arabo-berbères pénètrent au Ghana, où les souverains soninkés sont au pouvoir. L’occupation du Maghreb par les Arabes favorise le trafic de l’or et des esclaves entre le Ghana

de planification de l’ouvrage. Des activités opérationnelles ont été conduites sur le terrain : campagnes de collecte de la tradition orale, création de centres régionaux de documentation pour la tradition orale, collecte de manuscrits inédits en arabe et en « ajami » (langues africaines écrites en caractère arabes), inventaire des archives et préparation d’un Guide des sources de l’histoire de l’Afrique, à partir des archives et bibliothèques des pays d’Europe, publié depuis en neuf volumes. D’autre

Juifs du Maroc. Il faut aussi rappeler que les habitants de l’Afrique du Nord sont tous à l’origine des Berbères. La conquête arabo-musulmane n’a laissé sur place que peu de soldats venus de l’Arabie et de l’Orient arabisé. Néanmoins, la civilisation arabe et la religion musulmane réussirent à s’implanter dans les villes, à les arabiser, et à les islamiser. Par contre, de grandes franges de la population autochtone sont restées berbérophones jusqu’à ce jour. Il va sans dire que la scolarisation et les

chaque orateur a tenu à dire comment il se reconnaissait dans l’autre et en quoi cet autre faisait partie intégrante de lui-même. Driss Khrouz, directeur de la Bibliothèque nationale, n’hésita pas à affirmer : “Parce que je suis marocain, je suis arabe, berbère, musulman, juif...”. Dans un ordre quelque peu différent, André Azoulay, conseiller du roi, fit sienne cette identité composite qu’il revendique du reste depuis quelques années. Ahmed Abbadi, secrétaire général du Conseil des oulémas du Maroc