Apologue Divertissant Réflexion

droit au bonheur. Extrait  : « Les autres hommes sont emportés par leurs passions, sans que les actions qu’ils font soient précédées de la réflexion ; ce sont des hommes qui marchent dans les ténèbres ; au lieu que le philosophe , dans ses passions mêmes, n’agit qu’après la réflexion ; il marche la nuit, mais il est précédé d’un flambeau. Notre philosophe (…) est un honnête homme qui veut plaire et se rendre

MONSEIGNEUR, vous en présenter quelques essais. C'est un entretien convenable à vos premières années. Vous êtes en un âge où l'amusement et les jeux sont permis aux princes; mais en même temps vous devez donner quelques-unes de vos pensées à des réflexions sérieuses. Tout cela se rencontre aux fables que nous devons à Ésope. L'apparence en est puérile, je le confesse; mais ces puérilités servent d'enveloppe à des vérités importantes.    Je ne doute point, MONSEIGNEUR, que vous ne regardiez favorablement

devoirs envers la société et qui pense avoir droit au bonheur. Extrait : « Les autres hommes sont emportés par leurs passions, sans que les actions qu’ils font soient précédées de la réflexion ; ce sont des hommes qui marchent dans les ténèbres ; au lieu que le philosophe, dans ses passions mêmes, n’agit qu’après la réflexion ; il marche la nuit, mais il est précédé d’un flambeau. Notre philosophe (…) est un honnête homme qui veut plaire et se rendre utile. » Dumarsais, Encyclopédie

Ces dieux sont représentés de façons très anthropomorphique (sous forme humaine) et ont donc des caractères représentatifs aux Hommes, ce qui les désacralise. Plus on évolue et plus cela est vrai, la mythologie devient un recueil d'histoires divertissantes (Ovide, Métamorphoses) Les dieux grecs sont des puissances tutélaires, protectrices qui protègent les cités car ils représentent les éléments. Chaque cité a sa divinité protectrice et les relations des citoyens avec leurs dieux sont donc contractuelles

devoirs envers la société et qui pense avoir droit au bonheur. Extrait : « Les autres hommes sont emportés par leurs passions, sans que les actions qu’ils font soient précédées de la réflexion ; ce sont des hommes qui marchent dans les ténèbres ; au lieu que le philosophe, dans ses passions mêmes, n’agit qu’après la réflexion ; il marche la nuit, mais il est précédé d’un flambeau. Notre philosophe (…) est un honnête homme qui veut plaire et se rendre utile. » Dumarsais, Encyclopédie

jugent-ils les progrès de leur siècle ? Comment dénoncent-ils l’horreur de l’esclavage et de la colonisation ? Éclairages et problématique : L’approche du siècle des Lumières par le biais du thème du voyage et de l’industrie maritime ouvre de nombreuses réflexions sur la civilisation européenne du xviiie siècle mais aussi plus largement sur l’humanité. La notion de progrès qui est au cœur de toute société se voit fortement discutée par des philosophes, des navigateurs, au contact de ceux que l’on a communément

(nigaud) blâme l'enseignement de Pangloss :   * rapport maître/élève basé sur l'admiration : "admirablement", "innocemment", "attentivement", "le plus grand philosophe"   * influence sur l'esprit de l'élève, d'où la fréquence de connecteur dans les réflexions de Candide (ainsi que Cunégonde) qui raisonne à la manière de Pangloss. Pangloss fait de Candide un esprit naïf, étroit et crédule condamne surtout le dogmatisme (fanatisme philosophique) tout comme il condamne le fanatisme religieux (dans Candide

L’élargissement du goût Un goût plus souple que la génération classique, avec une évolution de la littérature qui change de caractère. La Bruyère, Fénelon. Tant dis que l’on entre dans cette période la querelle des anciens et des modernes, en même temps la réflexion philosophique s’affranchit elle aussi ; Bayle, Fontenelle qui font preuve d’audace quand il s’agit d’affronter la religion par ex. Ils peuvent reprendre certaines idées des libertins mais les assument davantage. Ils critiquent aussi les institutions

de la fourmi et en adoptant sa vision avare. Cette interprétation semble donc s’opposer aux indices précédents qui tendaient au contraire à montrer une discrète connivence entre le narrateur et la cigale. Mais on peut aussi se demander si, à la réflexion, l’on n’a pas ici, au lieu d’un simple retour au récit, la présence en filigrane d’un discours indirect libre où La Fontaine résumerait la position, non pas de lui-même comme narrateur, mais du personnage de la fourmi, en particulier en raison justement

pensée, une théorie, ou exprimant un précepte (voir proverbe). 21. Apocryphe - Un texte apocryphe n'est pas authentique, son origine est douteuse. 22. Apologie - Discours présentant l'éloge ou la justification d'une personne ou d'une thèse. 23. Apologue - Court récit en prose (ou en vers) dont on tire une morale. Dans l'apologue, la morale est plus importante que l'art du récit ; c'est l'inverse dans la fable. 24. Apostrophe - Figure de style qui consiste à interpeller une personne vivante ou