Apologue Des Personnages Merveilleux

d’un combat littéraire est avant tout liée à la puissance poétique du style. I. La puissance évocatrice de la fiction. 1. L’idée incarnée : quand le scandale prend corps Dès lors qu’un récit fait apparaitre un personnage, il s’établie un lien affectif avec le lecteur, les apologues tirent leur efficacité de cette dimension essentiel. C’est ainsi que Victor Hugo dénonce la peine capitale dans le dernier jour d’un condamné, journal d’un condamné à mort. A mesure que la perspective de l’exécution

La fable était déjà pratiquée en Mésopotamie , il y a deux mille ans avant notre ère puis se développera au VIe siècle avant Jésus Christ ,grâce à Esope (père de la fable). « La Cigale » , de Jean Anouilh est un apologue issu du recueil « Fables » publié en 1961 aux éditions de « La Table Ronde » ; ce texte décrit une cigale - une artiste - , qui recherche un placement financier hors pair auprès de Maître Renard un prêteur sur gage et qui finalement contre toute attente obtiendra un investissement

est composé de deux parties, dont on peut appeler l’une le corps, l’autre l’âme. Le corps est la fable ; l’âme la moralité ». Il distingue donc la fable (récit de fiction) de l’apologue (récit de fiction + moralité). Mais le plus souvent, les mot apologue et fable sont confondu. • La parabole est très proche de la fable, mais elle a en plus une dimension sacré. Celui qui utilise des paraboles par excellence, c’est le Christ. Ses paraboles nous sont transmises par les évangélistes. Il y a une autre

encore conte, nombreuses sont les formes, dont un écrivain dispose pour rendre agréable une argumentation. Montesquieu dans ses Lettres persanes (1721) use d'une forme tout à fait singulière: celle de la lettre. À travers le portrait en situation de personnages, il dénonce les vices féminins, et plus précisément le goût de l'artifice chez la femme. L’écrivain ne cesse d'accumuler les brèves séquences narratives afin de dynamiser le récit. Ainsi, le temps du passé alterne avec ceux de l'énonciation afin

thèse défendue pour faciliter la compréhension du lecteur. Le conte et le conte philosophique; riche d'un enseignement explicite ou implicite qui s'exprime à travers les péripéties du héros. Le conte philosophique raconte la formation d'un personnage confronté à la découverte brutale du monde. L'utopie; formé d'un mot grec signifiant « sans lieu » ou « non-lieu », l'utopie invente des terres imaginaires où se découvre de nouvelles formes d'organisations politiques et sociales en renversant

« Des peuples assez éloignés », non nommés, au service d’un puissant désigné par « quiconque », repris par « ces multitudes », « cinq ou six puissances belligérantes », dont le nombre même semble incertain et variable. On trouve aussi des personnages traditionnels dans le conte, qui se rattachent à la noblesse : « un prince », « il descend en droite ligne d’un comte », « le prince et son conseil », « Les autres prince ». Ce prince, comme dans la tradition, ne souffre pas qu’on s’oppose à sa

meilleur des mondes possibles, avec des préjugés sur l'innocence (cf. Eden), et plein d'illusions sur la réalité. C'est l'incipit du conte, et il a pour fonction de présenter les personnages, le contexte, la situation initiale. Cela se fait par petits paragraphes successifs, correspondant à peu près chacun à un personnage; le chapitre est clôt par le départ de Candide et sa découverte du monde.       Tout semble aller pour le mieux, mais des indices indiquent au lecteur qu'il faut prendre le récit

l'idée fixe, l'obsession d'un voiture. » Anaphore : Répétition du même mot ou groupe de mots en début de .. phrases, proposition de paragraphe, de vers, de strophes. « Paris, Paris outragés, Paris brisé, Paris martyrisé mais Paris libéré. » Apologue : Récit à visée argumentative, qui fait passer un message. Ex : Les fables de la fontaine ; Les paroles de Jésus. La proposition incise : proposition formée d'un verbe de parole (au passée simple) suivit d'un sujet inversé. La proposition incise

 Les fables, par leurs qualités, sont bien destinées aux enfants. En effet, elles ont une apparence simple, amusante, qui permet de faire étudier l’enfant en le captivant. La fable s’inscrit souvent dans un cadre merveilleux. Elle rend vivant des objets inanimés comme « Le Cierge » (Livre IX, fable 12) victime de sa trop vive curiosité, et dote les animaux de la parole. Ces derniers se querellent, se lamentent, et qui ont très souvent des manières proches de celles des hommes. Ainsi dans « Le

hommes. Elle met en évidence une réalité cruelle à portée universelle : le dialogue entre le loup et l’agneau met en évidence le comportement de celui qui non seulement exerce sa violence sur le plus faible mais cherche à la justifier.
 I. Deux personnages opposés a) Le loup
Cruel, tyrannique, supérieur.
Champ lexical de la haine : "plein de rage", "colère"… Le Loup se comporte en prédateur, soumis à ses instincts, à sa "faim", à ses pulsions agressives et cruelles : son discours est plein de menaces