Apologue Conte Reflet Réalité

 FRANCAIS ECRIT genres et courants Les genres du réçit : . Apologue : Petit réçit illustrant une leçon morale . Conte : Réçit assez court d'évènements imaginaires et présentés comme tels. Journal : Réçit au jour le jour, de la vie d'une personne par elle même Nouvelle : Réçit assez court en prose. Les genres poétiques : Chanson : Texte en vers destiné à être chanté et composé en général de couplets de refrains. Fable : Petit réçit souvent en vers, accompagné d'une moralité. Les genres théâtraux

l’originalité des fables. Le projet a été mené à bien. Dans un premier temps, LF cherche à gagner en légitimité ce qu’il ne peu avoir en originalité. En effet, ce projet avait déjà été mené par Socrate. Le projet de LF est justifié. A l’origine, fable = conte, récit en prose, dont mes caractéristiques = dépouillement et brièveté. Les fables sont sues de tout le monde, elles sont le fond commun culturel dans lequel il n’y a qu’à puiser. L’objectif : pas de renouveler ce fond commun, mais de raviver le goût

instruire les hommes. »La fable, ou apologue, Est un genre narratif court, en vers ou en prose, transmettant une réflexion morale par le moyen d'une histoire fictive qui l’illustre. Le plus célèbre des fabulistes français est La Fontaine.[footnoteRef:3] [3: Besoin d’une source fiable] Par son étymologie, « fabula » en latin, le mot « fable » possède des sens diversifiés : (récit oral et plaisant, propos relevant de la conversation, apologue terminé par une moralité.)[footnoteRef:4]

( équilibre argumentatif, inversion dans la distribution de la parole ; ( aucune conclusion de l’auteur, pas de modalisation, pas de narrateur « juge » . b. Deux stratégies argumentatives solides ( argumentation par persuasion (apologue = induction, lexique du sentiment) : MOI ; ( argumentation par référence à l’expérience (conventions sociales, autodépréciation mais justification claire et riche en arguments) : LUI ; c. Un texte délibératif ( jeu des pronoms (« moi »/ « lui »

réquisitoire contre la peine de mort. Hugo détaille les états d'âme d'un condamné au fil des 49 chapitres de ce roman. Pendant toute sa vie, Hugo a combattu la peine de mort. Enfant, il a été témoin de morts affreuses. On se rend compte que cette réalité est encore bien actuelle. Guerres, famines, meurtres, etc. voilà le fléau qu'on constate encore tous les jours. Bicêtre. Condamné à mort ! Voilà cinq semaines que j'habite avec cette pensée, toujours seul avec elle, toujours glacé de sa présence

L’impartialité de l’auteur  équilibre argumentatif, inversion dans la distribution de la parole ;  aucune conclusion de l’auteur, pas de modalisation, pas de narrateur « juge » . b. Deux stratégies argumentatives solides  argumentation par persuasion (apologue = induction, lexique du sentiment) : MOI ;  argumentation par référence à l’expérience (conventions sociales, autodépréciation mais justification claire et riche en arguments) : LUI ; c. Un texte délibératif  jeu des pronoms (« moi »/ « lui » =

brutal. III - Aspects contradictoires     La mort est en fait omniprésente : vers 1 le mot "trou" fait écho avec le vers 14. L'adverbe "follement" vers 2 signifie l'agitation de la rivière. Nous avons un côté glorieux avec l'argent, mais en réalité les "haillons" vers 3, reflètent quelque chose de détruit. La "bouche ouverte" est une caractérisation de la mort du soldat ; sa tête est nue car son casque a roulé par terre ; "la nuque baignant" vers 6 signifie qu'elle baignait dans le sang, c'est

les sentiments car croire que l'argent fait le bonheur c'est se réduire a très peu car il n'y contribue même pas. Ceux qui vivent avec peu d'argent ne sont pas forcément malheureux, au ocntraire, parce qu'il ne savent que faire de l'argent car en réalité l'argent pousse à toujours désirer plus donc il ne satisfait pas, c'est bien la preuve. On voit alors que l'argent ne peut pas acheter les choses essentielles dignes d'un homme. Comme la pratique de l'indulgence à l'église, à fait oublier les vraies

la gravitation, l’attraction des comètes. · Arrive sur Saturne, où les Saturniens ne mesurent « que » 2000 mètres, + petits que le Sirien. ANALYSE  : Certains éléments font penser soit à un début de conte / soit à un récit véridique. · Conte  : lieu vague et fantaisiste ; « il y avait un jeune homme » ; trait de caractère dominant : son esprit. · Récit véridique  : le narrateur dit avoir connu

oiseau, utilise les lois de la gravitation, l’attraction des comètes. ➢ Arrive sur Saturne, où les Saturniens ne mesurent « que » 2000 mètres, + petits que le Sirien. ANALYSE : Certains éléments font penser soit à un début de conte / soit à un récit véridique. ➢ Conte : lieu vague et fantaisiste ; « il y avait un jeune homme » ; trait de caractère dominant : son esprit. ➢ Récit véridique : le narrateur dit avoir connu le héros. ➢ Taille : nombreuses précisions chiffrées, calculs qui