Analyse Stylistique

réalisme Les deux principaux genres de la littérature réaliste sont le roman, parce qu’il permet de décrire avec précision la richesse du monde et la nouvelle parce qu’elle est une sorte de cliché instantané. III. Le style La recherche stylistique des écrivains réalistes se fait avec autant de fidélité (justesse des mots, soin extrême du détail, foisonnement des descriptions) et d'objectivité (auteur en retrait, dogme de l'impersonnalité, absence de réflexions et de lyrisme). VI. Personnages

dans la syllabe tonique de mots qui se succèdent. chiasme n. m. Figure de style disposant en ordre inverse les mots de deux propositions qui s'opposent.Il était très riche en défauts, en qualités très pauvre. ellipse n. f. Procédé syntaxique ou stylistique consistant à omettre un ou plusieurs mots à l'intérieur d'une phrase, leur absence ne nuisant ni à la compréhension ni à la syntaxe.Ellipse du verbe : " Pierre mange des cerises, Paul des fraises " hyperbole n. f. Figure de style consistant à

votre résumé doit être très court.  4) Référence à une ligne, un paragraphe, une strophe…  Remarque : donnez les informations nécessaires à la compréhension de la référence.  Commenter un procédé de style  • Ne signalez jamais un procédé stylistique sans le mettre en relation avec une idée, sans indiquer son importance dans le texte : que traduit-il ? Quelle impression crée-t-il ? À quoi sert-il ? Pensez à citer les mots essentiels qui soutiennent le procédé repéré.  • Évitez la répétition

avec la très courte phrase introductive. II. L’empire des objets 1) L’effet d’accumulation Principe naturaliste par excellence, l’accumulation ressortit ici conjointement à une volonté de précision et d’exhaustivité ainsi qu’à la volonté stylistique de suggérer l’envahissement et la prolifération des objets. 2) L’ambiguïté du monde matériel La prolifération des objets se charge d’une valeur ambivalente, notamment par le biais du réseau, très dense, de comparaisons et de métaphores filées

à la loi, une violation au code. L’étymologie du mot transgression s’est inscrit à la littérature afin de dénoncer les tabous dans la culture Algérienne, ce qui est socialement intolérable malgré ça plusieurs écrivain ont opté pur cette méthode stylistique, c’est le cas de MALIKA MOKEDDEM, qui a lancer un défi suprême de désobéissance à la société, cependant plusieurs mutation (politique, religieux, culturelle) ont vu le jour, alors que c’était impossible à ce temps-la parce qu’elles étaient considérées

éléments de la nature. Ensuite, dans la deuxième strophe, l’oiseau et la fleur domine. S’ils ne sont pas cités directement, une figure de style appelée synecdoque est employée (v.10)(l’aile mis pour l’oiseau et la corolle pour la fleur). Ce procédé stylistique permet d’utiliser une seule partie de quelque chose pour définir son tout. Il est aussi appelé métonymie. Le poète va écouter un concert avec un orchestre divin d’oiseau (v.12). Il est probablement comme dans une église et il se recueille. Il y

finale d'un mot et de la syllabe initiale du mot suivant. Disjonction: Suppression des particules conjonctives (par opposition à conjonction)." Dans un chemin montant, sablonneux, malaisé " (La Fontaine). Ellipse: Procédé syntaxique ou stylistique consistant à omettre un ou plusieurs mots à l'intérieur d'une phrase, leur absence ne nuisant ni à la compréhension ni à la syntaxe.Ellipse du verbe : " Pierre mange des cerises, Paul des fraises " Exorde: Première partie d'un discours

romanesque », et évoque un style « objectif, qui ne valorise ni ne dévalorise les faits racontés ». Dans ce premier roman on remarque déjà le style d'Annie Ernaux qui utilise l'écriture blanche (inventée par Roland Barthes) : est un minimalisme stylistique (caractéristique de l'après guerre). C'est comme si on parlait de voix blanche, c'est-à-dire sans intonation, dans une sorte d'absence enonciative. C'est une écriture plate, transparente, neutre, comme si le style même niait la littérature, avec

Stylistique et traductologie Argument La traductologie est une science complexe qui a derrière elle une longue histoire pré-scientifique, empirique. Pratique millénaire, la traduction littéraire a toujours suscité des préoccupations théoriques plus ou moins soutenues, engendrées par les difficultés de l’acte même de traduire et constituées en véritable doxa, qui peut être résumée par l’adage traduttore traditore. L’histoire de la traduction littéraire pourrait être décrite comme effort indéfiniment

phrases précédentes qui ne font entre elles, en réalité, qu'une seule et même phrase grammaticale, mais à "elle fuyait", noyau verbal d'une phrase nouvelle, indépendante, dont le sujet n'est plus "je" mais "elle". Cependant, on notera que cet écart stylistique ne prend son sens qu'à l'intérieur d'un développement rhétorique des plus classiques : parallélisme syntaxique visant à donner à la phrase "une allure oratoire et balancée". Rimbaud aime certes la dissymétrie, mais il ne se prive pas des charmes