Alètheia

létszerkezetéhez tartozik a hanyatlás.” „A jelenvalólét, mivel lényegszerűen hanyatló, létszerkezete szerint a „nem-igazságban” van.” „A létező igazságát (felfedettségét) először mindig ki kell harcolnunk. A létezőt elragadjuk az elrejtettségtől.” (igazság – alétheia) „Az igazság fenoménjének egzisztenciál-ontológiai interpretációja a következő eredményeket hozta: 1. Az igazság a legeredendőbb értelemben a jelenvalólét feltárultsága, amelyhez hozzátartozik a világonbelüli létező felfedettsége. 2. A jelenvalólét

…est en fait, qu’est ce que l’essence » Mét.Z 1,1028b2-4) celle-ci sera la grande interrogation de la théologie qui est la topique par excellence de la non-contradiction dans l’affirmation de l’être. Bien sur il y a l’évangile de Jean ou logos et alètheia ne font qu’un. Mais il faut se souvenir de 19 20 toutes les querelles christologiques des IV -Ve siècles qui s’ordonnent autour de ce principe de non-contradiction dans l’Etre de Dieu, de la scolastique qui fait disparaître les contradictions

desseins. La technique est donc l’expression objective de cet humanisme et en même temps de la science expérimentale. La technoscience est donc parfaitement légitime, elle est un mode de production qu’Heidegger dit un mode de dévoilement (du grec Aletheia : vérité) mais un dévoilement qui est spécifique -> mettre à jour un phénomène qui était caché (objectiver ce qui est présent dans la nature ; fondement sensible à fondement logique et intelligible, rationnel). Tout ce que je fais subir est légitime

vérité ne peut-elle être définie qu’en termes d’adéquation entre un concept et son objet ? Dans la pensée grecque antique, la « vérité » ne s’oppose pas primitivement à l’erreur, mais à l’oubli : le terme grec que nous traduisons par « vérité », alètheia, signifie d’abord ce qui est arraché à l’oubli (lèthè), ce qui devient ou redevient présent. Or, chaque œuvre d’art singulière nous met en présence d’un monde, 28. Alain, Système des Beaux-Arts, « Tel », Gallimard, p. 38. 29. Et de l’artisan lui-même

vérité. Au contraire même, elle se révèle un outil à part entière pour l’établir et même pour en maintenir l’exigence. Sous le premier aspect, Socrate montre ainsi que l’art oratoire, dûment maîtrisé, permet de rétablir la vérité en dévoilant (comme « aletheia ») les sophismes des discours adverses. De cet art, il affirme en effet qu’il « permet, quand quelqu’un d’autre opère de telles assimilations, en se camouflant, de dévoiler le procédé » (261e), et il l’applique d’ailleurs aux discours de Lysias voire

vérité ne peut-elle être définie qu’en termes d’adéquation entre un concept et son objet ? Dans la pensée grecque antique, la « vérité » ne s’oppose pas primitivement à l’erreur, mais à l’oubli : le terme grec que nous traduisons par « vérité », alètheia, signifie d’abord ce qui est arraché à l’oubli (lèthè), ce qui devient ou redevient présent. Or, chaque œuvre d’art singulière nous met en présence d’un monde, 28. Alain, Système des Beaux-Arts, « Tel », Gallimard, p. 38. 29. Et de l’artisan lui-même

vérité ne peut-elle être définie qu’en termes d’adéquation entre un concept et son objet ? Dans la pensée grecque antique, la « vérité » ne s’oppose pas primitivement à l’erreur, mais à l’oubli : le terme grec que nous traduisons par « vérité », alètheia, signifie d’abord ce qui est arraché à l’oubli (lèthè), ce qui devient ou redevient présent. Or, chaque œuvre d’art singulière nous met en présence d’un monde, 28. Alain, Système des Beaux-Arts, « Tel », Gallimard, p. 38. 29. Et de l’artisan lui-même

serait lumière et perfection, comme traduisent quelques-uns. Les Sept. ont traduit dans le même sens, ourime par dèlosis, une déclaration, ce qui sert à éclairer un objet, et toumime par alètheia, vérité (...)" Dans l'incertitude le traducteur des Septante choisissait de voir dans "toumime" une abstraction (vérité, alèthéia), tandis que Cahen penche plutôt, comme le montre le résumé de Flaubert, vers l'hypothèse d' une figuration (statuette). Le romancier prolongera le mouvement de "corporification" en

vérité ne peut-elle être définie qu’en termes d’adéquation entre un concept et son objet ? Dans la pensée grecque antique, la « vérité » ne s’oppose pas primitivement à l’erreur, mais à l’oubli : le terme grec que nous traduisons par « vérité », alètheia, signifie d’abord ce qui est arraché à l’oubli (lèthè), ce qui devient ou redevient présent. Or, chaque œuvre d’art singulière nous met en présence d’un monde, 28. Alain, Système des Beaux-Arts, « Tel », Gallimard, p. 38. 29. Et de l’artisan lui-même

vérité ne peut-elle être définie qu’en termes d’adéquation entre un concept et son objet ? Dans la pensée grecque antique, la « vérité » ne s’oppose pas primitivement à l’erreur, mais à l’oubli : le terme grec que nous traduisons par « vérité », alètheia, signifie d’abord ce qui est arraché à l’oubli (lèthè), ce qui devient ou redevient présent. Or, chaque œuvre d’art singulière nous met en présence d’un monde, 28. Alain, Système des Beaux-Arts, « Tel », Gallimard, p. 38. 29. Et de l’artisan lui-même