Philosophie

l’histoire individuelle, biographique de chacun. Au sens où à l’échelle de l’humanité comme à l’échelle de l’individu la question du sens d’un parcours se pose. Plus fondamentalement c’est la question de la fin de l’histoire qui a fait l’objet des philosophies de l’histoire et qui pour l’individu fait l’objet d’une angoisse essentielle et existentielle, celle du sens d’une vie qu’il sait être mortelle. A quoi bon vivre si c’est pour mourir, le sens que nous attribuons à notre existence ne peut-il pas

Philosophie – texte de Pascal 1) Ce Texte traite deux notions le mensonge et la vérité. Le mensonge est une déformation involontaire, pour en tirer profit. La vérité : caractérise une idée ou une parole conforme à la réalité, au fait. Dans ce texte, Pascal fait soutient que tout n’est que mensonge dans la vie humaine. C’est nous qui voulons que l’on nous mente, alors on nous dit ce que l’on a envie d’entendre. De plus, « on nous traite comme nous voulons être traités. » Comme l’auteur l’affirme

peut-on pour autant affirmer qu'il n'y a aucune connexion entre le moi et les apparences ? Le prétendre, c'est supposer que le moi existe comme une substance, qu'il est invariable et permanent. Cette conception est problématique, comme le montrera la philosophie existentialiste et notamment celle de Sartre. Pascal entrevoit quelque chose de fondamental, à savoir la mouvance du moi, son caractère insaisissable qui pourrait nous faire conclure que le moi n'est pas. Mais il ne va pas jusqu'au bout, prisonnier

Essai de définition de la philosophie ? Connaissez-vos des noms de philosohpes ? 1. Le travail est-il punition ou essence même de l'homme ? a. Le travail comme punition «Tu travailleras à la sueur de ton front», dans cet extrait de la Genèse, le travail prend la forme d'une ultime punition de Dieu faite à l'homme qui ne pourra plus récolter les fruits de la nature sans effort. Cette conception se retrouve au cœur même de l'étymologie du terme «travail» : il provient du latin tripalium, qui désigne

sous-parties correspondant à trois arguments différents. On commencera par le plus évident pour terminer par le plus subtil. On note au brouillon l'intégralité du plan détaillé : parties et sous parties. Le plan critique est fréquemment utilisé en philosophie. D'abord, la première partie confirme la thèse du sujet (certes...), puis une deuxième partie défend la position inverse (mais...). Puis une troisième partie vient éventuellement dépasser cette opposition. Elle peut montrer par exemple qu'il existe

au sens ou elles relèvent de l’ordre du donné (ces libéraux dénonceront donc toute correction et toute tentative de réglementation –par l’Etat qui fixe des finalités et des lois normatives- comme une déviation fondamentalement malsaine). En philosophie, les sophistes prennent pour norme de l’existence le statu quo du donné et des relations de force. - La conception de PLATON se réclame du Bien vers lequel toute Sté doit tendre, c’à d le Juste : nous avons là une norme qui n’est plus fixe

D. Andler : De la philosophie des sciences... - 15/06/07 p. 1 A paraître dans M. Ouelbani, dir., La philosophe analytique dans tous ses états, Tunis : Presses de l’Université de Tunis. Version finale non éditée. De la philosophie des sciences à la philosophie de l’esprit Daniel Andler Université de Paris-Sorbonne (Paris IV) La philosophie des sciences était, pour les philosophes analytiques formés au cours du quart de siècle 1950-1975, la discipline centrale, ou peut-être faudrait-il

La dissertation philosophique Comment élaborer un travail préparatoire L’analyse d’un sujet : Les bases pour une bonne introduction Si l’on pose le sujet suivant, « dans quelle mesure peut-on se libérer du passé? », nous allons tenter d’analyser les termes du sujet de baccalauréat. Il y a une mise en évidence des niveaux de signification. Tout d’abord, « dans quelle mesure », nous renvoie à l’idée d’un processus qui suppose des limites, on aurait pu lire, « jusqu’à quel point », ou encore

"Comment peut-on vivre ?" Tout homme est emmené à se poser cette question un jour. Pour Nietzsche il y a deux catégories d'hommes : l'homme ordinaire et l'homme extraordinaire le penseur. Pour lui seul le penseur songe à cette question alors que l'homme ordinaire continu de vivre sans se poser la question. Nous verrons tout d'abord que l'homme laissé se dérouler la vie avant de prendre conscience de l'importance de celle-ci car pour lui l'homme ordinaire n'est pas doté d'intelligence. Dans un deuxième

Devoir philo Page :134 Le texte nous explique la sensation de la douleur, sa force et son unicité. Mais en contre parti il nous dit aussi que la puissance de l’esprit nous permet de reconstitué cette dernière sans pour autant en être une copie parfaite. L’3 à 4 Ce qui est dit ici c’est que pour une chose sensiblement identique la perception que l’on a peut changer, car la conception de cette idée ou pensé n’est pas de la même intensité donc n’est pas perçut de la même manière, nous pourrions