L alcoolisme
Les effets de l’alcool se font également radicalement ressentir au niveau du travail : perte de motivation, lenteur, improductivité. Parfois, le malade alcoolique perd ses notions de devoir et de responsabilité, il est alors difficile de compter sur lui.
Fautes
L’état d’ébriété est proscrit sur le lieu de travail. Une simple faute professionnelle susceptible de sanction disciplinaire peut être adressée à l’employé alcoolisé.
La sanction peut aller jusqu’au licenciement. La faute peut aussi être due à un incident survenu à cause de l’état d’alcoolisation (accident dû à une inattention, mise en danger de « l’alcoolodépendant » ou de ses collègues).
Accident du travail
L’alcool est responsable à lui seul de 10 à 20% des accidents du travail, bien plus fréquents chez les « alcoolodépendants ». C’est particulièrement vrai dans les domaines où l’activité est manuelle car le risque de blessures est plus fort.
Absentéisme
« L’alcoolodépendant » est fréquemment absent du travail, ou en retard. Cela est du à l’affaiblissement de sa santé et aux effets cumulés des prises d’alcool. Le syndrome de « gueule de bois » peut surgir le matin et empêcher toute activité, notamment professionnelle.
Le désintérêt du dépendant pour son travail et l’état flegmatique dans lequel l’alcool le pousse renforcent encore plus son absentéisme. Sans excuse médicale valable, cela constitue un abandon de poste qui peut conduire au licenciement.
Arrêts de travail
La santé fragilisée de l’alcoolique le rend plus vulnérable aux maladies. Les blessures et contusions qui se retrouvent fréquemment chez les « alcoolodépendants » ne vont qu’accroître les cessations de travail. Rappelons que l’alcool impacte fortement l’ensemble de l’organisme : cerveau, yeux, cœur, estomac, système nerveux,…
Licenciement
Les fautes, abandons de poste, diminution des résultats et les prises de risques induites par le dépendant dans son activité