En effet ce voyage passe mal pour bardamu .il doit anouveau faire face à l’hostilité des paasagersqui le prennent comme bouc émissaire .pour eux ,c’est une facilité de de le désigner comme tel .il echappe au sort qu’on veut lui faire en tenant au bar un discours patriotique, de réthorique extraordinaire , aux hommes présents sur le bateau .les rancœurs et les violences à son égard s’apaisent à coup de boisson .mais ce discours est mensonger. . A la première escale bardamu descend du bateau Bardamu est toujours mu par le désir de garder la vie sauve. Il va faire face a à une autre sorte a travers une scène qui met a nu cruellement les mécanismes de manipulation et d’oppression coloniale. Bardamu nous présente la scène sous un angle péjoratif ,il rentre dans le jeu de l’oppresseur Céline impose une critique sociale, une remise en question du système colonial alors en plein essor il impose également l’idée de l’exploitation à outrance par des détails le résultat les intéressait, c’est long à suinter. Accumulation des termes qui alourdissent et ralentissent leur travail :petit godets, on en a plein un petit verre en deux mois. Dès lors on comprend que la quantité de caoutchouc accumulée représente un travail énorme. Ce qui doit être reconnu par la pesée. En effet l’échange est complètement biaisé puisque toute cette quantité rassemblé est réduite à quelque sous.les lois de commerces sont vidées de toute signification elles deviennent artificielle.de plus le commerçant referme la main du noir sur les pièces comme si celui-ci près de ses sous .il ne recevra pas plus.il ne sait même pas compter ce qu’il a d’argent. Va-t-en .c’est ton compte Céline nous montre comment on opprime et on abuse jusqu’au bout .le premier échange avait semblé respecter les règles .mais le vendeur va perdre le peu qu’il a gagné. Rebondissement du contrat de vente qui fait basculer dans une noirceur encore plus profonde ce qui précède. Un nouveau vol s’accompli donne moi