Travailleur
Intro :
Juin 1940, l’armée française est défaite.
« La France a-t-elle perdue une bataille ou a-t-elle perdue la guerre ? », le gouvernement de l’époque privilégie la guerre. C’est pourquoi, le maréchal Pétain à cette époque nouveau Président du Conseil demande l’arrêt des combats. Quelques jours plus tard « l’entrevue de montoire » entre le maréchal Pétain et Hitler le 24 octobre 1940, ils signèrent tout deux l’armistice.
Dès lors, la France se trouva dans une situation alarmante.
Les débuts de la répression (politiquement) :
Sur le territoire français, c’est l’armistice qui définit en partie les nouvelles
Règles du jeu : La France est divisé en 2 parties au nord :
Une zone occupé par la allemands et sous autorité de la MBF : en zone occupé les Allemands disposent d’un service de renseignement (Abwehr), d’une police(issu d’une gestapo et d’un ambassadeur (Otto Abetz) Ils ont réquisitionné de nombreux Bâtiments, Suite a sa la Wehrmacht est des milliers d’hommes , très présente en zone occupée.
Une zone non occupé (zone sud) :c’est la bas a vichy que se met en place les autorités politique françaises. L’armistice ne devait pas en principe pas remettre en question le régime politique de la France : La 3ème république. Suite après avoir obtenu les pleins pouvoirs des assemblées, le maréchal Pétain instaure la devise travail, patrie, famille, patrie.
Les enjeux de la politique vichyssoise :
Deux périodes sont à examiner (avant et après le 11 novembre 1942) La police de vichy n’intervient en zone nord et sud qu’en ce qui concerne les communistes.
Les résistants de zone nord sont capturés par la Gestapo, emprisonnés, déportés ou exécutés ; ceux de zone sud sont arrêtés par la milice française et emprisonnés.
La situation évolue avec l’autorisation donnée aux Allemands d’introduire en zone sud des voitures-gonio pour repérer les postes émetteurs-récepteurs clandestins. A la suite