Travail sur le film pour le meilleur et pour le pire
Pour le pire et pour le meilleur
26 Janvier 2013
Dans le cadre du cours de Psychologie de la santé mentale, nous devions sélectionner un film parmi quelques choix proposés. Chacun de ces films présente une pathologie chez le personnage principal qui se voit confronté face à plusieurs situations dans son quotidien l’obligeant à avancer ou vivre malgré son trouble pathologique.
Pour ce travail, j’ai choisi un film ou le personnage principal souffre d’un trouble obsessionnel compulsif ou généralement appelé un TOC. Le film « Pour le pire et pour le meilleur » parle de Melvin qui est atteint d’un TOC. Premièrement, un trouble obsessionnel compulsif est catégorisé sur l’axe 1 du DSM (Diagnostique statistique des troubles mentaux). Les personnes atteintes de ce trouble s’adonnent et se comportent d’une manière obsessionnelle face notamment aux tâches qu’ils font quotidiennement, ou des formes de « rites » auxquels ils accordent une importance extrême et exagérée. La seule façon pour eux de fonctionner et même survivre est de répéter et répéter quotidiennement l’obsession en question.
Melvin souffre vraisemblablement d’un TOC car il répond à tous les critères diagnostiques selon le DSM-IV. Tout d’abord, celui-ci s’impose des rituels à n’en plus finir et qui sont obsessionnels comme se laver les mains sans jamais utiliser le même savon, obligation de ne pas marcher sur les lignes au sol, répétition obsessionnel d’un même geste comme lorsqu’il vérifie à plusieurs reprises si la porte est bel et bien verrouillée. On constate alors que son trouble obsessionnel compulsif prend une énorme place dans sa vie, il doit toujours se conformer à ses propres obligations, ce qui influence significativement sa vie et ses relations sociales. Il répond donc au premier critère qui est la présence d’obsessions significatives qui ont un impact sur sa vie.
Ensuite, on voit dans le film que Melvin finit par prendre conscience que ses