Surveillance sur internet
La surveillance sur internet est principalement établie par le gouvernement. Effectivement, l’état a mis en place différente lois tel que la Loi d'Orientation et de Programmation pour la Sécurité Intérieure (LOPSI 2 ou LOPSI 2009) qui a été mis en œuvre pour lutter contre les pédophiles sur internet. Elle lutte contre la cybercriminalité. La loi filtre les sites Web en surveillant à distance les données numériques. Ainsi elle peut surveiller l’internet et prendre en flagrant délit des internautes malfaiteurs. L’Etat a aussi mis en place la loi Hadopi en mai 2008, elle vise à créer une autorité publique indépendante, protéger les droits sur Internet et instaurer une sanction administrative contre la diffusion d’œuvre sans l’accord du créateur. Elle surveille aussi les communications (mails, conversation privé qui peuvent être d’ordre professionnel aussi et contenir des secrets d’entreprise par exemple). De plus, si l’internaute veut réduire la durée de sa coupure internet il devra accepter qu’un programme espion soit installé sur son ordinateur. Par ailleurs la société NTT Europe Online, membre de la Fondation pour la Surveillance sur internet, l’IWF qui travaille avec la police, le gouvernement et le public en ligne pour combattre la disponibilité des contenus illégaux, ainsi que les parents peuvent être des acteurs de la surveillance sur internet.
D’ailleurs, cette surveillance est justifiée. En effet, la police, les sociétés comme NTT Europe Online, l’IWF et les lois prises par l’état ont pour but de lutter contre le terrorisme, le trafic d’armes et de stupéfiants, les enlèvements, la séquestration, la pédophilie, l’usurpation d’identité, le proxénétisme, l’extorsion de fausse monnaie, le blanchissement, les scènes de violences ou d’incitation à la haine raciale et l’aide à l’entrée des étrangers sur le territoire. De plus des sociétés privées comme advestigo, ont pour but de surveiller et de contrôler l’usage et la diffusion de contenus