Philosophie, principe de socrate, no 6
Le raisonnement nous amène à la vérité, la certitude. Mais si l’on se retrouve dans une impasse : il nous reste le libre-arbitre (faculté de choisir en se déterminant selon certains motifs).
C'est-à-dire que si je n’ai pas les capacités de raisonner correctement, si je ne connais pas le sujet : je suspens mon jugement.
Principe n°7 Que nous ne saurions douter sans être, et que cela est la première connaissance certaine qu’on peut acquérir. « je pense donc je suis -> cogito ergo sum »
Je doute de tout : du sensible, des math et même de mon raisonnement. A chaque fois je prends du recul ( cf métaphore A). Cependant, une chose est certaine : je doute ! Je peux douter du sujet de mon raisonnement mais je ne peux pas douter que … je doute ! « cogito ergo sum » J’ai conscience de douter de tout et je ne peut pas le remettre en question .
1) La vérité performative
Si je sais ce qui se passe, je pense : donc j’existe. « je pense donc je suis »
2) Métaphores pour mieux comprendre
A : Deux miroirs sont l’un en face de l’autre avec un objet au centre : l’objet se reflète à l’infini. Cette métaphore illustre le recul : on peut le faire à l’infini. Cependant , il existe une barrière au niveau de la pensé qu’il ne faut pas perdre de vue : j’ai conscience que je pense , que je mets les choses en doute donc j’existe et ça je ne peut pas le remettre en question !
B : C’est comme une scène de théâtre où se déroulent des intrigues : la scène est la conscience humaine, le support. Les intrigues se déroulent au niveau de la pensée.
3) Objet
Le sujet (Marc) peut douter de l’objet : est-ce vraiment un tableau noir ? Mais il est indubitable que Marc pense et doute.
4) Modèle d’évidence intellectuelle.
Une idée peut être claire (indubitable) et distincte ( que l’on peut expliquer)
Ex d’une idée claire mais non