Les défis auxquels les autorités chinoises devront répondre pour poursuive le développement économique du pays.
Les premières réformes réussites sont agricoles. Le collectivisme bolchévique étant un moyen inefficace d'organiser le travail, la chine entreprend de passer vers des entreprises de bourg et de village (EBV), petites, manufacturières, appartenant à l'administration du village et gérées par elle. Cette nouvelle organisation agricole à permit de diminuer la pression fiscale en fournissant aux autorités locales un moyen d'accroître leurs revenus en développant leurs EBV. L'important apport de ces réformes est aussi la mise en place la concurrence, qui s'est développé entre elles et qui leur a imposé une stricte discipline.
En matière d'ouverture extérieure, la politiques "hors normes" explique l'essentiel de la croissance chinoise. Les IDE (investissement direct à l'étranger) des entreprises multinational justifie d’après la banque centrale 2/3 de la croissance chinoise (pour la période de 1985 à nos jours). Ce type de croissance extensive, encouragé par les pouvoirs publiques, à eu pour effet d'accroître la productivité chinoise en apportant au pays le savoir-faire occidentale.
La décentralisation, favorisée par Deng Xiao Ping, a poussé les districts, les provinces et les municipalités à se débrouiller de manière autonome, ce qui a contribué au décollage de la Chine. En effet, le transfert d'autorité et de compétence a eu plusieurs vertus : premièrement, les pouvoirs locaux sont mieux à même de fournir des biens publics appropriés ; ensuite, la décentralisation autorise des expérimentations régionales ; enfin, la décentralisation fiscale permet une concurrence inter-régionale qui limite