Le knowledge management (gestion des connaissances) désigne l’ensemble des techniques permettant d’identifier, d’analyser, d’interpréter, de regrouper, de capitaliser et de partager les connaissances au sein d’une organisation. C’est vers les années 1950 que le terme knowledge management à vraiment prit tout son sens et fut réellement développer. D’ailleurs de 1950 à 2000 le terme de « knowledge management » n’arrêta pas de changer.
Entre 1992 et le début des années 2000, il s’agit de la période du véritable essor du concept de KM à travers le monde, avec en 1992 la parution du livre de J.M Bruneau et J.F. Pujos sur le management des connaissances dans les entreprises (Bruneau & Pujos, 1992) et le début des conférences internationales CIKM (Conference on Information and Knowledge Management) qui se dérouleront à partir de cette date tous les ans. De 2001 à 2005 nous avons encore relevé vingt-cinq définitions différentes du KM.
Selon Emmanuel Métais et Bertrand Moingeon (Respectivement directeur de l’EDHEC et professeur Directeur général adjoint de HEC Paris), il s’agit de gérer :
La technologie : système d’informations. La technologie permet de rendre utilisable la gestion des connaissances mise en place. Exemple : intranet, extranet, les weblogs, les blogs.

Stratégique : portefeuille de connaissances

Organisationnelle : Une structure favorisant la création et le partage de connaissances

Identitaire : une identité apprenante

Ces quatre éléments sont les composantes-clés d’un management centré sur le savoir et la connaissance. Le Knowledge management a pour but d’aboutir à la création d’un environnement favorable à la création permanente, au partage collaboratif, à l’amélioration constante dans toute l’entreprise et enfin à une organisation efficace.

Néanmoins et dans les même années (1950) un autre concept fut développé. L’intelligence économique appelé aussi "business intelligence" et "competitive intelligence".

Cependant il est