Lacan chapitre les culottes de la mère et la carence du père seminiare 4 la relation d'objet
Les culottes de la mère captent l'attention du petit Hans. Il a une réaction de dégout face à elles. Il y a un jeu de voir et de ne pas voir, de voir ce qui ne peut être vu, soit le phallus inexistant pour la mère. C'est la curiosité sexuelle infantile.
La culotte a une fonction de voile, d'écran, ajoute du mystère au phallus, laisse supposer que le phallus est là.
Le fantasme de la mère phallique du petit hans se traduit dans sa relation avec la mère.
Lien entre les fonctions du loumf et des culottes: ce sont des voiles qui peuvent tomber. Si ces voiles tombent un problème serait posé.
Ces culottes deviennent sources de dégout quand elles ne sont pas portées.
Dans ce fantasme en découle le fantasme de la baignoire avec le devissage l'amovibilité.
Le fantasme de la baignoire mobilise la situation de l'enfant avec sa mère, le petit hans qui peut perdre son amour. Il se sent dépendant d'elle, livré à elle , menacé et annulé.
Elle peut être dangereuse ce qui lui provoque de l'angoisse.
Lacan expose la situation en disant que la mère est symbolique et est le premier élément symbolique pour l'enfant qu'elle soit présente ou non. Quand elle refuse l'amour du petit hans, la compensation est trouvée dans le sein réel par écrasement sur la satisfaction réelle, la mère devient un élément réel toute puissante qui refuse son amour. L'enfant n'est pas imaginaire mais le désir du phallus de la mère.
Deux introduction d'élément réels sont venus compliqués la situation: Anne sa soeur l'au-delà de la mère.
Sa soeur est un élément du reel intolerable qui pourra devenir tolérable que si elle passe dans l'imaginaire. Pour cela le petit hans invente un discours quant à sa venue. Il a des envies de meutre envers sa soeur.
Cette soeur devient le moi supérieure après quelques aménagements psychologiques.
Le réveil de sa sexualité infantile, son pénis réel, qui bouge, refoulé (repoussé par la mère) vient renforcer sa phobie du