Actuellement, les organismes génétiquement modifiés font l’objet de nombreux débats passionnels en France, en Europe et partout dans le monde. Il s’agit avant tout de la réglementation des OGM. Chaque pays a un choix d’effectuer : permettre le développement des OGM ou l’interdire. Aujourd’hui, quand plusieurs recherches à propos des OGM sont faits, on ne peut plus dire que les OGM est une panacée ou un phénomène absolument négatif. D’une part, l’utilisation des OGM ouvre certaines perspectives économiques, médicales et sociales, mais d’autre part, elle pose des problèmes d’étique, de la sécurité sanitaire et environnementale. Par conséquent, ce choix pour chaque société n’est pas évident. Afin de répondre à la question : « le futur sans OGM ou avec ? », il est indispensable d’analyser des arguments pour et contre. Tout d’abord, il faut noter qu’un OGM est défini par la réglementation européenne comme "un organisme dont le matériel génétique a été modifié d'une manière qui ne s'effectue pas naturellement par multiplication et/ou par recombinaison naturelle" (art. 2 de la directive 2001/18). Le premier exemple au fil d’une histoire des OGM végétaux est un plant de tabac résistant à un antibiotique qui était mis au point en 1983. A fur et à mésure plusieures découvertes ont été effectuées par un génie génétique et aujourd’hui l’utilisation des OGM permet d’obtenir certaines avantages par rapport aux produits bio ou conventionnels, parmi lesquelles : la tolérance aux herbicides, la résistance aux insects et aux maladies, aux stress environnementaux. L’agriculture reste toujours un domaine avec nombreux risques à élaborer : froid, sécheresse, précipitations trop nombreuses, salinité, tous ces facteurs posent souvent les problèmes aux agriculteurs. Les biotechnologies sont capables de développer les plantes modifiées qui pourront mieux supporter les conditions climatiques défavorables. Il faut y ajouter aussi la possibilité des OGM à tolérer les hérbicides et résister