Droit du vivant
« La liberté des uns s’arrête là ou commence celle des autres » (Jean-Paul Sartre). D’après cette citation, on peut comprendre que si le droit du vivant protège une génération d’êtres, par leur capacité à se reproduire, les droits tels que le droit de propriété ne peuvent pas s’étendre au-delà des reproductions des êtres vivants.
De manière générale, le vivant se définit par un être était animé d’un principe de croissance interne, ayant la capacité de se reproduire qu’il soit végétal, animal ou humain.
Le droit du vivant peut donc se définir par un ensemble de lois et de droits régissant les êtres, dans la mesure du possible.
Comment le droit protège-t-il du vivant ?
Dans une première partie, nous analyserons que le droit protège du vivant mais, que dans une seconde, le droit du vivant a ses limites. I) Le droit protège du vivant A) Les végétaux
Certificat d’obtention végétale : Droit qui confère aux producteurs de nouvelles variétés végétales de bénéficier d’une protection.
Loi des OGM : Liberté de produire ou consommer des OGM, toute parcelle d’OGM doit être rendue publique, délit de fauchage condamnable, indemnisation des cultures consommées.
B) Les animaux
Tout animal étant un être sensible doit être placé par son propriétaire dans des conditions compatibles avec les impératifs biologiques de son espèce.
Il est interdit d'exercer des mauvais traitements envers les animaux domestiques ainsi qu'envers les animaux sauvages apprivoisés ou tenus en captivité. II) Le droit du vivant a ses limites A) Limites du droit de propriété
Les arbres de plus de deux mètres ne peuvent être implantés à moins de deux mètres de la limite séparative des propriétés. B) Limites de protection des animaux
Bien que les animaux aient leurs droits, ils sont considérés comme objet dans la règle de droit.
Pour conclure, si le droit protège du vivant, comme en protégeant les végétaux et/ou les animaux, il a ses