Fiche voltaire, dictionnaire philosophique, 1764, extrait
- Dénonciation du fanatisme, de l’obscurantisme
- Voltaire est un déiste
- Mène la guerre contre la Religion, surtout la chrétienne
- Ici plutôt un texte // avec la justice.
- Chevalier de la barre : libertin horriblement torturé. (Point sur son histoire)
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I. Une construction du texte déstructurée
- Bcp d’exemples ont une valeur d’argument
- Thèse à la fin. Dans la construction du texte, tout va dans le sens d’aboutir à la thèse.
- Eclaté en différentes parties (paragraphes) sans transitions, chacun porte sur un thème/idée. → // dictionnaire
- récurrence du mot « torture », « question »
- 1§ : comparaison entre la Rome antique et la société contemporaine de Voltaire → rien n’a changé (sensé changer, être en pleine clairvoyance)
- 2§ : scène d’intimité, scène domestique. Plaisir/torture. Côté malsain et scabreux.
- 3§ : très subjectif
- 4§ : Chevalier de la barre. Ironique, subjectif, personnel, sensible (colère, révolte contre la monstruosité et l’injustice)
- 5§ : Sorte de quiproquo, pas plus cruel que la France.
Contradiction entre la construction et le ton.
→ imitation du dictionnaire → pas de transition
→ texte pas du tout objectif, forte sensibilité et prise de position : ironie et le pathétique
II. La dénonciation de la torture
→ lien plaisir/torture.
Apogée dans le 2.§ avec la vie amoureuse du juge.
→ les raisons superficielles répétit° de l’adverbe « combien » → pour le plaisir, objet de la torture dérisoire.
Divertissement. Sadisme au sens moderne.
III. Un texte subjectif qui a un recours permanent à l’ironie et au pathétique
Figure phare de l’ironie : l’antiphrase (dit exactement le contraire de ce qu’il voudrait faire comprendre). IRONIE VOLTAIRIENNE. (Voir la parenthèse sur l’ironie)
1§
1/ intègre une justification, qui pour lui ne vaut rien.
2/ point de vue : accumulation + amplification du rythme + gradation → son avis, ne lui est pas indifférent,