Ecole des femmes
Tout d’abord, après avoir appris qu’Agnès était issue d’une liaison cachée et qu’elle était la fille d’Enrique, Horace peut enfin épouser celle qu’il aime et vivre heureux avec celle-ci.
Dans un dernier temps, nous pouvons parler d’Arnolphe qui s’échappe en poussant un cri de soupir : « Oh ! »(Page 123) Cette onomatopée laisse entendre toute la souffrance ainsi que la déception d’Arnolphe.
Premièrement, nous pouvons repérer un comique de geste dans la scène 4 de l’acte IV avec les répétitions du rejet d’Arnolphe par Georgette et Alain. On le remarque par les didascalies : « le poussant » qui sont présentent trois fois de suite. Le lecteur en lisant ces didascalies imagine les personnages repoussant le maître chacun à son tour ce qui produit un effet comique.
En outre, le comique de situation avec Horace qui se confie à Arnolphe sans savoir que celui-ci est en vérité Mr De la Souche et qu’il est lui aussi fou amoureux d’Agnès. Ces confidences permettent donc à Mr De la Souche de pouvoir mettre en place des stratégies pour qu’Horace ne s’approche pas d’Agnès.
Dans un dernier temps, le comique de mots est présent dans la pièce. Nous pouvons le prouver avec la scène 5 de l’acte II. Alain utilise un vocabulaire lié à la cuisine pour comparer la femme : « potage », « soupe »’(page 49) Quelque fois, c’est le contexte qui permet à un mot de produire l’effet comique par exemple des adjectifs qui ne sont pas approprié à un nom communs : « cette amitié goulue »(page 49) ou alors quand Alain dis à Georgette que celle-ci à de bons yeux pour lui dire qu’en fait, Agnès a une bonne vue. Il y aussi l’accent patois de Georgette : « biaux monsieux » (page 49)
Selon moi, c’est le comique de situation qu’il l’emporte car ce comique est présent durant presque toute la pièce.
Dans le domaine littéraire, une farce est une pièce de théâtre bouffonne lié à un comique bas et grossier.