DM Nourrir Chap1
Document 1 : Efficacité du désherbage sur le rendement du blé
Non irrigué irrigué traitement
Rendement (qx/ha)
Gain %
Rendement (qx/ha)
Gain %
Précoce
56,5
54
62,5
76,1
Tardif
44,9
22
48,6
36,9
Non désherbé
36,7
35,5
http://www.vulgarisation.net/74.pdf
Traitement précoce : réalisé tôt dans la saison de culture
Traitement tardif : réalisé tardivement en cours de la culture
Document 2 :
http://www.paysan-breton.fr/article.php?id=2538&recherche=0&word=glyphosate
Un produit de traitement est systémique lorsqu'il est absorbé par les feuilles et véhiculé dans l'ensemble de la plante par la sève
Document 3 :
Document 4 : Du désherbant dans la nappe phréatique
Pour la première fois, des molécules actives de glyphosate, issues de désherbants utilisés par les agriculteurs, ont été détectées dans les eaux souterraines de la nappe phréatique de la région parisiennes. Le signal d'alarme est tiré par l'association Aqui'Brie, qui oeuvre pour la protection de cette nappe située sous un tiers de la Seine-et-Marne (223 communes). Ce réservoir géant dessert en eau 1 million de Franciliens. « Depuis plusieurs années, le glyphosate, étaient très présents dans les eaux superficielles. Désormais on sait qu'ils ont atteint la nappe phréatique », constate la directrice de l’Association.
De son côté, Eau de Paris, qui pompe dans la nappe pour alimenter la capitale, confirme. « Nous avons trouvé ces molécules dès 2007, mais toujours en dessous de la norme », assure le responsable de l'unité eaux souterraines. Le glyphosate, a été détecté à l'est du département à hauteur de 0,062 microgramme par litre, et l'Ampa à l'ouest, à hauteur de 0,05 microgramme par litre, alors que pour les deux, la norme prévoit un maximum de 0,1 microgramme par litre d'eau. Les Parisiens sont invités à se rassurer : « L'eau distribuée dans la capitale provient de différents captages. Ce mélange réduit fortement la teneur en glyphosate des eaux consommées », précise Jean-Michel Laya. Les