Dissertation en francais
« Pratiqué avec sérieux, le sport n’a rien à voir avec le fair-play. Il déborde de jalousie haineuse, de bestialité, du mépris de toute règle, de plaisir sadique et de violence ; en d’autres mots, c’est la guerre, les fusils en moins. ».
Le thème abordé ici est donc le sport et la violence. En quoi le sport est-il un reflet de la violence de la société ? Même si, à première vue, le sport semble difficilement associable à la violence, il est pourtant un facteur et un reflet de la violence. Premièrement, les supporters sont le reflet des sportifs qu’ils encouragent. Le manque de fair-play peut donc avoir des conséquences violentes. Les valeurs transmises par le modèle sportif sont suffisamment puissantes pour créer des attachements aussi fort et d’engendrer un tel processus. Le sport se donne aujourd’hui comme exemplaire et fascinant. Mais sa visibilité extrême, son spectacle, ses enjeux, les attentes intenses qu’il provoque poussent aux dérives. Les valeurs promues peuvent êtres menacées. Pas un seul jour ne passe sans qu’un évènement n’aggrave les images des sportifs. Plus touché que tout autre sport, le football est victime d’un problème qui existe depuis très longtemps dans la culture footballistique : celui du hooliganisme ! Qui nous rappelle le drame produit au Heysel en mai 1985.Bien qu’ils aient adopté un comportement violent, les hooligans restent pour beaucoup d’authentiques supporters. Le problème de nos jours est qu’on pratique un sport pour la gagne et plus pour la participation et le divertissement. Cela crée de la tension qui crée à son tour une certaine violence. Aux Pays-Bas, un match a tourné au drame, un arbitre a été tabassé par des jeunes âgés de quinze ans. En