Des souris et des hommes
II. Les reflets de l’homme
III. L’espoir d’un monde meilleur
Dans une Amérique qui peine à se relever suite au crack boursier de Wall Street, « des souris et des hommes » un roman récompensé par le prix de Pulitzer en 1939 est l’œuvre qui donne un nouveau départ à la carrière de romancier de John Steinbeck.
Cette intrigue décrit la société Américaine rurale de l’époque dans un ranch où chaque personnes représente un type de population différent et qui nous fait découvrir deux journaliers, Georges et Lennie, liés par une forte amitié.
A travers le roman de Steinbeck pouvons-nous dégagez une vision désolante de la société et des hommes ? Pour répondre à cette problématique nous allons l’examiner en trois différents points de vue, la société corrompue de 1930, les reflets de l’Homme, et enfin l’espoir d’un monde meilleur.
« L’homme est né bon…et la société le déprave […] tout ce qui n’est pas dans la nature a des inconvénients et la société civile plus que tout le reste » a affirmer J-J Rousseau en 1802.
Une société est un état de vie collective, un mode d’existence caractérisé par la vie en groupe, un milieu dans lequel se développe la civilisation.
Certes le ranch a quelques milles de Soledad est une société. Mais on s’aperçoit bien que de grandes inégalités entre les hommes subsistent, et c’est ce qui va à l’encontre de la définition de ce qu’est une société puisque la solitude des hommes est omniprésente tous au long du roman. « Des types comme nous y’a pas plus seuls au monde » dit Georges à Lennie.
J.Steinbeck nous décrit tout au long de son roman une Amérique profonde où la société piétinent les individus à la limite de la normalité. Une société dominé par la notion de rendement et le profit financier, où les pauvres restent pauvres, les riches encore plus riches, les infirmes et les personnes âgés rejetaient par les valides et les moins vieux et les nègres repousser par les blancs. C’est effectivement le cas de Georges et