Dates culture gé
1494 : tableau La nef des fous (des fous sur un bateau qu’on envoie au large) : éloignement du fou
1511 : Erasme publie l’éloge de la folie. La fortune en sourit non pas aux sages mais aux fou, le fou exprime seul la vérité.
17ème sicèle : en France, grad enfermement des fous, de pauvres, vagabonds, d »viants …
1656 : texte qui s’inscrit dans la grande peur, prévoit l’enfermement de tous les déviants
1656 : apparition d’établissements qui seront des lieux où l’on rencotnre des marginaux. (Bicêtre : homme et Pétrière : femme).
19ème siècle : apparition à Lyon de l’antiquaille qui sera le refuge des exclus de la société.
Loi de 1838 : conception médicale de la folie
1838 : naissance de l’asile
1845 : l’antiquaille intègre les hospices civils de Lyon.
1857 : nécessité de la prière avant le travail, avant les repas et le coucher.
1838 à 1860 : multiplication d’asiles, une centaine de privée et 70 publics. 10000 à 30000 enfermés.
1876 : Trop de fous ensuite passage au Vinatier (établissement public).
1885 : troisième république et donc laicisation de l’espace public.
1950 : apparition des médicaments que l’on va abondamment utiliser pour soigner.
Antiquité : distinction enter les maladies du corps et de l’esprit. On établit un critère de normalité pour dire qu’on le transgresse. Quatre humeurs.
Moyen Age : le fou est un envoyé de Dieu qui mérite à la fois considération, respcet et aura le salut éternel. On va quand même les hospitaliser et les enfermer. On soigne la folie par des drogues, plantes, des régimes et de façon systématique la trépanation.
Renaissance : la folie ets au centre d’un certain nombre d’attitude, de préoccupations et de discours. Les fous ne cessent d’être considérés comme des êtres anormaux. On les enferme car on ne peut ni les intégrer ni les abandonner.
Renaissance à 1838 : Les fus sont assimilés à des fauteurs de troubles, ils attisent la grande peur