les conditions de logement des ouvriers sont exécrables. En effet ils vivent d’après le document 1 dans des caves insalubres « des familles entières, hommes enfants ; habitent dan ces souterrains »(L6). Dans ces caves, la lumière ne filtre que par la porte ou la « trappe qui ferme l’escalier » (L5). L’odeur y est « infecte » selon Victor Hugo, en effet, sur les 6 visiteurs qui l’accompagnaient, seuls 3 ont pût y rentrer. Les habitants de ces souterrains vivent sur des « coffres » qui font office de lit. Les conditions d’hygiène étaient déplorables, comme peut en témoigner la petite fille atteinte de la rougeole, couchée sur une « paillasse » pourrie. Quand ces ouvriers n’habitaient pas dans des caves, ils habitaient dans des bidonvilles comme ceux qui figurent sur le document 2. Toutefois, des habitations bons marché(HBM) sont crées en 1935. (il fau expliquer la dernière frase) 1) En 1854, les dépenses moyennes des ouvriers sont alimentaires : en effet 75% de leur budget est destiné à la nourriture. Leurs autres besoins tels que le logement, habillement ou alors la santé passent au second plan. En revanche, au fil du temps la répartition des ouvriers évolue. Les dépenses diminuent de 21%, de 1854 à 1936 alors que au même moment, les dépenses du plan secondaire en 1854 figurent plus importantes dans le budget des ouvriers. L’ouvrier accorde donc de plus en plus d’importance aux besoins secondaires.( elle demande comment c’est possible qu’ils accordent plus d’importance aux besoins secondaires) 2) Les journées de travail des ouvriers sont longues et difficiles, en effet elles durent un minimum de 10 heures à un maximum de 16 heures le labeur par jour. Mais une fois cher luis, le calvaire n’est pas fini pour autant : « entrez avec lui dans l’affreux taudis où ne l’attend pas toujours son repas » (L7-8). Il ne trouve donc cher lui aucune forme de réconfort, il se réfugie alors dans l’alcool qui est pour lui sa seul façon d’oublier momentanément sa pénible