Bpr eljadida safi
L’effet d’éviction financière
Les dépenses nouvelles engendrées par la politique budgétaire évincent d’autres dépenses; l’effet total est nul ; seule la structure des dépenses est modifiée dans un sens qui est conforme aux objectifs des décideurs politiques.
la théorie quantitative de la monnaie est une théorie économique fondée sur la relation de causalité entre la quantité de monnaie en circulation et le niveau général des prix. Cette théorie a été développée par différents auteurs dans différents pays. Les précurseurs sont Martin d'Azpilcueta, dominicain reconnu de l'École de Salamanque, ainsi que Nicolas Copernic1 et Jean Bodin au xvie siècle2. Elle a été reformulée par les théories monétaristes au cours des années 1970, dans une version restrictive, pour attaquer les théories keynésiennes. Les théories monétaires s'opposent sur le rôle de la monnaie dans l’économie. Les classiques et néoclassiques considèrent que la monnaie est neutre, les keynésiens affirment que la monnaie est active et qu'elle peut être utilisée pour améliorer les performances économiques, et les monétaristes pensent que la monnaie est active, mais que son utilisation est surtout nocive à l'économie.
objectif: rétablir la demande à son niveau initial stratégie keynésienne se propose de le rétablir plus directement et plus rapidement en repoussant la demande global vers le haut à l'aide d'une politique budgétaire et/ou monétaire expantionniste.
Ce théorème montre