Berlin : ville de la guerre froide. intro conclu
Sur les ruines d'une Allemagne à genoux et d'un Reich agonisant, les vainqueurs de la Seconde Guerre Mondiale se disputent progressivement les restes du pays vaincu. Ces tensions s'accentuent rapidement entre les États-Unis capitalistes libéraux et l'URSS, communiste et totalitaire. En à peine quelques années, une nouvelle forme de conflit se déclencha (dés 1947) et s'achèvera à Berlin (en 1989), c'est la « Guerre Froide ». Coupé en deux la ville est un des symboles de cette guerre traduisant la condition une Europe divisée et théâtre de tension entre l'Ouest américain et l'Est soviétique durant quarante quatre longues années.
Berlin est donc une source de tensions et de crises permanentes entre les deux blocs mais aussi d'espoir qui font de Berlin-Ouest l'un des symbole d'un « monde libre » et de Berlin-Est celui de l'idéologique communiste.
Ainsi nous pourrions nous demander, en quoi la condition de Berlin entre 1945 et 1989 traduit elle les évolutions de la Guerre Froide ?
Ainsi dans un premier lieu nous aborderons l'apparition des tensions à Berlin mais aussi de la première crise qui ébranla le monde entier. Puis nous évoquerons vingt-huit ans durant lesquels Berlin fut séparé par un mur de la honte, symbole d'une Europe divisée. Et nous clôturerons ce sujet en traduisant l'euphorie de la chute du mur de Berlin et la fin de la Guerre Froide en 1989.
I] L'apparition de tensions et la première crise berlinoise.
A/ Le partage du monde et le rideau de fer.
B/ Le blocus de Berlin-Ouest ( Juin 1948 – Mai 1949 )
C/ La création de deux Allemagne, le divorce des américains et des soviétiques
II] 1961 – 1989, « Le mur de la honte» ; « Le mur de protection antifasciste »
A/ La décision du mur de Berlin.
B/ Un Berlin coupé en deux, un Berlin meurtrit à l'Est comme à l'ouest.
C/
III] 1989, un vent de liberté sur Berlin.
A/ Gorbatchev, la perestroïka et la fin de la