Berenger et jean
I) Bérenger, un anti héro
1) Volonté de résister
Au début de la pièce, Bérenger parait très négliger et Jean se permet de lui faire énormément de reproches. Depuis le début du texte Bérenger sort du lot. Il ne veut pas devenir comme « tout le monde ».
Bérenger ne veut pas suivre le mouvement. Tout son entourage attrape la « rhinocérite » mais Bérenger affirme ne pas vouloir les suivre
l.16-17 : « on ne m’aura pas, moi », « vous ne m’aurez pas moi »
l.19 : « je ne vous suivrez pas »
Bérenger fais donc preuve de courage .Au début de la pièce Jean lui fais la morale a Bérenger puis à la fin il suit le mouvement.
Nous changeons d’opinion sur Bérenger tout au long du texte.
Au début c’est le plus sale, il n’est pas ponctuelle, il est négligé, Bérenger a l’aire d’être le boulé au début du texte et deviens ensuite le héros de la pièce.
Bérenger voit cette « maladie » comme un combat, il utilise plusieurs champs lexicaux pour sa : « défendrai », « carabine », « capitule ».
Ce qui montre une forme d’exagération de la part de Bérenger.
Bérenger utilise un chiasme dans la pièce en disant :
« je me défendrai contre le monde » […] « contre tout le monde je me défendrais »
Bérenger se bat pour ne pas attraper la rhinocérite même si à certain moment il se pose des questions …
2) Mais doute de lui-même
Envahi par la peur, Bérenger doute de lui et de sa décision de rester seul.
Sa fiancé, Daisy rejoins tout le monde dans l’acte III ce qui provoque l’anxiété de Bérenger.
Il doute de son identité (l .51 « à quoi je ressemble ? »)
Il doute se son langage (l.41 « quelle langue est-ce que je parle » l.45 « qu‘est-ce que je dis ? »)
Il se demande si lui aussi se transforme en rhinocéros.
En voyant toutes ces transformations, surtout celle de son ami Jean
Bérenger tombe légèrement dans la folie …
Il se parle à lui-même, et pense que tout le monde est beau et que lui est laid .Il trouve désormais