ô Prison Douce

car il me semble qu'il y a plutôt des années que des semaines, j'étais un homme comme un autre homme. Chaque jour, chaque heure, chaque minute avait son idée. Mais maintenant, je suis captif. Mon corps est aux fers dans un cachot, mon esprit est en prison dans une idée. Une horrible, une sanglante, une implacable idée ! Je n'ai plus qu'une pensée, qu'une conviction, qu'une certitude : condamné à mort ! Après le jugement,  La voiture noire me transporta ici, dans ce hideux Bicêtre.   À peine arrivé

« c’est elle…ce n’est personne ».  Généralisation : à partir du cas de Suzanne, il CRITIQUE toutes les femmes : « O femme » x3 et des mots péjoratifs : « faible » / « décevante ». A cause de son parcours difficile :  l.14 « fils de je ne sais pas qui » : problème d’identité.  l.16 hyperbole « partout je suis repoussé » = difficulté à s’intégrer.  l.31 : séjour en prison.  Questionnement sur sa destinée l.14 + l.45 à 47  Destin TRAGIQUE. II)-Un monologue polémique : 1)-Critique sociale :

‘’Souvenir’’ (février 1841) Poème «J’espérais bien pleurer, mais je croyais souffrir En osant te revoir, place à jamais sacrée, Ô la plus chère tombe et la plus ignorée Où dorme un souvenir ! Que redoutiez-vous donc de cette solitude, Et pourquoi, mes amis, me premiez-vous la main, Alors qu’une si douce et si vieille habitude Me montrait ce chemin? Les voilà ces côteaux, ces bruyères fleuries, Et ces pas argentins sur le sable muet, Ces sentiers amoureux, remplis de causeries

 Table des matières Préface 2 Union libre 5 Analyse du poème « Union libre » 6 Au niveau de la forme : 6 Figures de style qui régissent le poème : 7 Champs lexicaux : 7 Assonance : 7 Douce création 8 Analyse du poème « Douce création » 8 Ma tranquille amie 9 Analyse du poème « Ma tranquille amie » 9 Tu mettrais l’univers entier dans ta ruelle 11 Analyse du poème « Tu mettrais l’univers entier dans ta ruelle » 11 Bibliographie 13 Préface Cher lecteur, Nous allons aborder

auteurs dramatiques pour défendre les droits d’auteurs. Il est aujourd’hui reconnu pour sa trilogie de Figaro, Le Barbier de Séville ; Le Mariage de Figaro et La Mère coupable ; sa critique de la noblesse et des privilèges lui vaut la censure et la prison. Les philosophes et écrivains des Lumières s’appuient sur les découvertes scientifiques pour développer l’esprit critique et lutter contre les préjugés et les superstitions et les abus de pouvoir. Les Lumières valorisent le pouvoir de la raison et

Que je m’ennuie entre ces murs tout nus Et peint de couleurs pâles Une mouche sur le papier à pas menus Parcourt mes lignes inégales Que deviendrai-je ô Dieu qui connais ma douleur Toi qui me l’as donnée Prends en pitié mes yeux sans larmes ma pâleur Le bruit de ma chaise enchainée Et tour ces pauvres coeurs battant dans la prison L’Amour qui m’accompagne Prends en pitié surtout ma débile raison Et ce désespoir qui la gagne " Clotilde " Guillaume Apollinaire : Alcools L’anémone

clairement l'éternité consolatrice, suggère au lecteur de partir en quête de celle-ci, dans le sonnet 33. Par ailleurs, ce sonnet est une imitation partielle de deux poèmes de l'Arioste et de Pétrarque. On y trouve donc les thèmes traditionnels de la prison d'amour et des yeux qui sont vecteurs de cet amour et de l'enfermement amoureux. Mais à ces thèmes se joint la mention du mythe platonicien de l'union des êtres, mythe développé par le discours d'Aristophane dans le Banquet de Platon. Le néoplatonisme

Sagesse : Le ciel est par-dessus le toit Introduction : La liaison avec Rimbaud s'est achevé dans le drame. En juillet 1873, Verlaine dans un moment d'ivresse a tiré sur son ami à deux reprises. Condamné à deux ans de prison, il est incarcéré à Bruxelles , le temps de la prison devient alors le temps du repentir et de la tentative de la conversion religieuse et plus généralement de la sagesse d’où le titre du recueil. Le ciel est par-dessus le toit est le 6e poème de la dernière partie du recueil

BAUMAN Jessica | [Le temps d’un regret] | Anthologie poétique (aidée par un ami de PREPA) | Sommaire Préface : 3 La pléiade : 4 Les regrets 5 Quand vous serez bien vieille, au soir, à la chandelle 6 Le baroque : 7 Liberté douce et gracieuse 8 Mais si faut-il mourir 9 Le classicisme : 10 Epitaphe 11 Le siècle le plus anti-poétique : 12 La jeune Tarentine 13 Le romantisme : 14 L’enfant 15 Recueillement 16 Le parnasse : 17 La mort d'un lion 18 A une ville

désespoir de ne pouvoir atteindre cet idéal conduit au spleen. Spleen : Anglais de « rate » (partie de l’anatomie). Mélancolie : humeur noire Le champ lexical de l’enfermement traverse tout le poème : « cachot », « murs », « plafonds pourris », « prison », « barreaux ». Le noir est la couleur qui dominante : « Jour noir » est un oxymore qui traduit l’absence de lumière. Le bestiaire représenté traduit le noir et la peur. Le paysage extérieur est à mettre en relation avec l’état d’âme du poète