émancipation Des Villes

constituait le tiers état, après la noblesse et le clergé. Dès la fin du Xe siècle, mais essentiellement an Xle siècle, on assiste en Allemagne à un « mouvement communal ». Les bourgs et villes naissantes, jusqu'alors dans la dépendance économique et juridique d'un seigneur, s'organisent pour obtenir leur émancipation (coniuratio civium ou Schwurverband). Les premières fortifications (palissades puis murailles: Pfahlbau, Stadtmauer) devenues symboles d'autonomie, datent en Allemagne du XIe siècle; elles

millions) pratiquent plus que les catholiques (le ramadan est davantage suivi que le carême). Leur intégration est freinée par des réflexes xénophobes, en contradiction avec les valeurs laïques, comme l’interdiction de nouvelles mosquées dans certaines villes. La pratique de l’islam ne doit pas être confondue avec l’intégrisme islamique (repli communautariste et identitaire). La question du port du voile dans les lieux publics suscite également un débat parasité par l’intolérance religieuse. La poussée

force : - processus de décentralisation - évolution des modalités d'action de l'État et des collectivités territoriales - multiplication des politiques publiques territorialisées et l'émergence de formes nouvelles de gouvernance des villes - loi de février 2002 sur la « démocratie de proximité » les instances de « démocratie locale » - thématique du quartier souvent évoquée → « Le découpage politique de l'espace constitue une dimension importante de la démocratie locale

de leurs propres affaires. Elles préconisent la création d’une Assemblée Fédérale du bloc France-Empire et l’élection de représentants des populations locales à la future Assemblée Constituante. A partir de 45, les colonies réclament donc cette émancipation qu’on leur a laissé entrevoir. Ainsi en est-il en Algérie le 8 mai 45 à Sétif : la foule défile aux cris de l’indépendance et de la libération de Messali Hadj, chef du Parti Populaire Algérien, prisonnier dès 45. Les autorités répliquent par une

des générations nombreuses issues du baby-boom, nées entre 1946 et 1975. - 21 -  La mobilité géographique et la société pluri-culturelle. Les mouvements migratoires déterminent dans une large mesure l'évolution du nombre d'habitants des villes et des villages et leur recomposition démographique. Aux migrations traditionnelles s'ajoutent les migrations de seniors qui modifient la démographie et l'économie de régions entières. La retraite rend mobile une part de la population dont l'importance

changement des structures sociales et émergence de « la question sociale » Entre le 17 et 18ème siècle sont créer les manufactures d’usine ou son regrouper les ouvriers salariés avec l’industrialisation de la société se développe le salariat, les villes qui transforme le mode de vie (habitat…). Elle développe aussi par la mécanisation. Tout cela nécessite le recrutement d’ouvrier et la mise en place d’une hiérarchie de commandement. Dans ces transformations structurelles, la conception du travail

des syndicats. Ces ouvriers sont pour beaucoup des immigrés Irlandais, arrivés massivement depuis les années 1920. Ceux-ci forment une main d'oeuvre peu chère. On assiste donc à la prolétarisation de la société au nord. Parallèlement, l'essor des villes provoque l'apparition d'une classe bourgeoise. Leur niveau de vie s'élevant, ils accèdent à de nouvelles revendications, plus idéologiques. L'esclavage est l'une d'elles. De plus, le « Second réveil » apparaît à la même époque aux Etats-Unis. C'est

1990) et dans les services aux entreprises (44,5% de l’emploi total en 1990), mais aussi et surtout dans les services aux particuliers (aides à domicile…) car en 1962, les femmes occupent 56% des emplois dans les services aux particuliers. Cette émancipation des femmes qui ne considèrent plus le travail comme réservée aux hommes mais plutôt comme un second revenu du ménage qui permet de dégager un pouvoir d’achat supplémentaire satisfaisant d’autres besoins comme la restauration, les divertissements

droits humains, la citoyenneté active et la solidarité pour préserver notamment la cohésion et la paix sociale. mettre en pratique l’égalité des droits et des chances pour les jeunes partout en Europe. contribuer à la formation du citoyen, pour son émancipation individuelle (liberté d’être et de penser) au sein de la société. favoriser l’apprentissage et la recherche d’emploi, mettre en place une rémunération qui permet de vivre dignement. réguler la montée du système économique qui soumet la jeunesse

onze nations sont dispersées dans des réserves à travers le Québec et en 2000, elles représentaient environ 1 % de la population québécoise. La majorité vit encore au sein d'une réserve, mais de plus en plus de familles choisissent de migrer vers les villes, à la suite des graves problèmes qu’elles rencontrent sur les réserves. Si notre projet porte principalement sur les problèmes familiaux et le taux de suicide élevé chez les autochtones, il est impossible de passer à côté de l'extrême pauvreté qui