Emaux Et Camées Structure

Explication n° 6 Théophile Gautier, Emaux et Camées Poème Préface p. 39 fasc Comme Goethe sur son divan A Weimar s'isolait des choses Et d'Hafiz effeuillait les roses, Sans prendre garde à l'ouragan Qui fouettait mes vitres fermées, Moi, j'ai fait Émaux et Camées. Préface (vol I, p. 396.) Pendant les guerres de l'empire, - - - -

Structure d’un poèmeUn alexandrin est un vers de 12 syllabes (ou pieds) 1 pied = 1 syllabeLe Romantisme – Le Lac de LamartineStructurePoésie en vers et en rimes croiséesPonctuation marquée par des coupures ou censuresLes vers sont en alexandrin (12 pieds) càd assez longsPlus le vers est long plus il induit un sentiment de gravité, de sentiments profondsC’est une poésie classique exprimée en « Je » qui dégage de la tristesse et de la mélancolieContenuPq poème romantique ?La nature  : Au

groupe et d’une esthétique s’opposant aux principes du romantisme. Théophile Gauthier (1811-1872) en est le précurseur, c’est un poète, peintre, romancier et célèbre critique d’Art Français, il a notamment écrit en 1835 « Mademoiselle de Maupin », « Emaux et Carmées » en 1852 (poèmes parnassiens) ainsi que « La nature chez elle » (1870). Il a d’ailleurs énoncé la doctrine de « l’Art pour l’Art » notion sur laquelle nous reviendrons. Leconte de Lisle (1818-1894) en est lui le chef de file, autant par

problèmes politiques et sociaux de son époque (refus de l’engagement) ; il ne doit pas non plus se livrer aux sentiments (refus du lyrisme personnel, en réaction contre le romantisme) Dans l’édition de 1858, Théophile Gautier clôt son recueil Emaux et Camées par « L’Art » ; il présente le credo parnassien; témoigne d’une conception poétique ayant pour idéal la beauté formelle. L'art Oui, l'oeuvre sort plus belle D'une forme au travail Rebelle, Vers, marbre, onyx, émail. Point de contraintes fausses

contiens le recueil « Emaux et Camées » paru en 1852 de Théophile Gauthier. Au 19ième siècle vient le moment ou les poètes sentirent que le romantisme (l’épanchement des sentiments) venait à sa limite. A se moment, apparurent alors des poètes dont l’intérêt visait l’art impersonnel, d’où survient alors le Parnasse (Théorie du beau), dont Théophile Gauthier en est le chef de fil. D’ailleurs, on y situe le poème « premier sourire du printemps ». 1.1 Analyse de la structure du poème : 1.1.1

années de Romantisme puissant et vainqueur Théophile Gautier glisse du goût encore romantique de l'exotisme et du pittoresque vers une poésie de plus en plus descriptive où l'art réside dans la perfection formelle. Le titre même du recueil Emaux et Camées (1852) suggère la délicatesse, la perfection du détail. Ce désir de travailler la forme du langage afin d'obtenir un objet esthétiquement parfait est à l'origine du mouvement poétique de «Art pour l'Art». LE PARNASSE Théophile Gautier, à

l'Art ». ce mouvement faisait de l'esthétisme la seule finalité de la poésie. Ce poème fait partie du recueil Emaux et Camées(1852-1872) et il représente le manifeste théorique du mouvement du Parnasse(« l’art pour l’art »la forme est plus importante que le contenu). Structure : Gautier réduit le nombre de vers et la longueur des vers en utilisant un vers plus court. Il s’agit d’une structure régulière et précise mais pas classique : chaque strophe est composée de 3 vers hexamètres et d’un vers de

énoncées. II) Une poésie polémique : ce qu’il ne faut pas faire a) Un art poétique argumentatif → Par les types de phrases : des phrases exclamatives, des questions rhétoriques. → Par le lexique péjoratif : sourd, faux, creux, fou, cruel, impur. (structure identique au v26, opposition au V27) → L’implication du locuteur : « nous voulons » b) Une opposition avec d’autres courants littéraires → Ces courants sont personnifiés par ce qui les représente. → Le procédé d’écriture des Lumières strophe

Sujet type bac : Classes de 1ère ES2 Objet d’étude : La Poésie Corpus : Texte A : Victor Hugo, « Fonction du poète », Les Rayons et les ombres, 1840 * Texte B : Théophile Gautier, « Le pin des landes » Emaux et Camées, 1852 * Texte C : Charles Baudelaire, « L’albatros », Les Fleurs du mal, 1857 * Texte D : Arthur Rimbaud, « Ma Bohème », Poésies, 1870 Question : A l’appui des textes du corpus vous expliquerez quelle image leurs auteurs donnent du poète et de la création poétique. Ce corpus

exprimera superbement cette indifférence  : « Comme Goethe sur son divan / A Weimar s'isolait des choses / Et d'Hafiz effeuillait les roses, // Sans prendre garde à l'ouragan / Qui fouettait mes vitres fermées, / Moi, j'ai fait Émaux et Camées. (Préface d'Émaux et Camées). e mont Parnasse est, dans la mythologie grecque, le lieu de résidence d'Apollon et des neuf Muses. L'usage métonymique de ce nom pour désigner une assemblée de poètes est déjà ancien lorsque l'éditeur Alphonse Lemerre publie