éloge Paradoxale Le Bruit

Et toute la famille glousse d’horreur De honte Frémit et brosse et frotte et brosse Le chat voudrait bien s’en aller Tout cela lui lève le cœur […] Soudain de longs sanglots Et le petit chat met ses pattes sur ses oreilles Pour ne pas entendre ce bruit Parce qu’il aime la fille Et que c’est elle qui crie C’est à elle qu’on en voulait C’est la jeune fille de la maison Elle est nue… elle crie… elle pleure Et d’un coup de brosse à chiendent Sur la tête Le père la rappelle à la raison Elle a une tache

de lui, à l’influencer, il met en jeu la fonction impressive. a. Celle-ci se caractérise par la fréquence de la 2e personne, les appels, l’impératif et le subjonctif, les interjections, les formules de prière ou de suggestion, les interrogations, éloge, réprimandes, incitations publicitaires... - J’aimerais que tu prêtes grande attention à ce que je vais te dire. - -Allez ! Circulez! - - Il faut que tu nous dise tout ! b. Lorsque l’énoncé a pour rôle essentiel d’attirer l’attention de l’interlocuteur

de lui, à l’influencer, il met en jeu la fonction impressive. a. Celle-ci se caractérise par la fréquence de la 2e personne, les appels, l’impératif et le subjonctif, les interjections, les formules de prière ou de suggestion, les interrogations, éloge, réprimandes, incitations publicitaires... J’aimerais que tu prêtes grande attention à ce que je vais te dire. -Allez ! Circulez! - Il faut que tu nous dise tout ! b. Lorsque l’énoncé a pour rôle essentiel d’attirer l’attention de l’interlocuteur

instantanée de son ami « tressaillant et se redressant vivement », qui redoute, plus que tout, que d’autres que son ami perçoivent sa souffrance (« Devant ce monde ? »). Plus révélatrice encore, et toujours face à Le Bret, c’est après son brillant éloge paradoxal du plaisir qu’il éprouve à déplaire (« Eh bien oui, c’est mon vice. / Déplaire est mon plaisir. J’aime qu’on me haïsse », v. 1023 à 1040) – lui-même consécutif à sa tirade des « Non, merci » (v. 964 à 1022) –, que Cyrano, face à son ami lui répondant

tout au long du sonnet, la rigueur du grammairien, à la fois humble en ses prétentions et orgueilleux en son travail précis : la langue perd sa part de hasard et se transforme en instrument sonore de musique cadencée et harmonieuse. Le poème est paradoxal : l'énonciateur déclare "ne rien voir" après avoir durant 3 strophes déclamé son admiration au paysage; la pointe finale scinde le locuteur en deux : celui qui décrit et celui qui est aveuglé par le sentiment de l'absence. Cette scission induit une

sentiment amoureux authentiquement vécu et qui l’emporte toujours, chez elle, sur les conventions littéraires. n 4. Éros et Thanatos (question 5) Comme toujours chez la poétesse lyonnaise, amour et mort, Éros et Thanatos, tissent ici des relations paradoxales. C’est que la durée, dimension essentielle de la passion, est toujours menacée par la précarité de la vie humaine, exprimée dans la périphrase du vers 12, « ce mortel séjour ». Cette menace est encore inscrite dans l’opposition du subordonnant duratif

psychique massive », « hystérie », « rêve éveillé », « suggestibilité élevée », « état altéré de conscience », etc. Parmi les plus récentes, citons  : «  état modifié de conscience  », «  quatrième état  », « état de haute concentration », « veille paradoxale », « jeu de rôles », « attention dissociée », « excitation du cerveau droit », « exaltation des facultés imaginatives et créatives de l’esprit », « mode de communication », « art de vivre »… L’hypnose, un fourre-tout  ? Mais alors, comment expliquer

........................................................322 Séquence 20 Parcours de lecteur : M. de Montaigne, « Sur le démenti », Les Essais, 1595 ............................................................................327 Vers le bac : « Éloge et blâme du souverain » ...................................................339 Chapitre 6 Les réécritures, du XVIIe à nos jours – série L ...............341 Séquence 21 Réécrire pour faire œuvre nouvelle .......................................

fondamentaux de l’œuvre. A) La vie et la mort. Fragilité de la vie face à la mort. L’arbre de la scierie : la scie incarne déjà la coupure; la mort pour l’arbre. Il annonce déjà le motif de la mort présente à travers l’arbre charnier. B) Eloge du hêtre et de sa beauté incomparable. : fascination liée à la nature qui constitue une source de spectacle et de fascination. Les formules superlatives; « plus lisse »; « plus belle » Exaltation de toutes les qualités de l’arbre; adverbe intensif

........................................................322 Séquence 20 Parcours de lecteur : M. de Montaigne, « Sur le démenti », Les Essais, 1595 ............................................................................327 Vers le bac : « Éloge et blâme du souverain » ...................................................339 Chapitre 6 Les réécritures, du XVIIe à nos jours – série L ...............341 Séquence 21 Réécrire pour faire œuvre nouvelle .......................................