éloge Paradoxal Objet

INTRODUCTION GÉNÉRALE Le présent ouvrage s’aventure dans une problématique nouvelle et complexe, l’éclectisme en didactique des langues étrangères ou secondes (entendue dans le sens le plus large, communément en usage aujourd’hui, qui lui attribue comme objet d’étude l’enseignement et l’apprentissage des langues et des cultures non maternelles1), et c’est pourquoi j’ai choisi l’essai, forme ouverte, légère et provisoire pour une réflexion individuelle qui ne fait que s’amorcer, qui se veut totalement libre

puisse en donner une présentation exhaustive – je réponds que je suis d’accord, mais que quelque chose vaut mieux que rien. 2) elle ne fait qu’un avec la rhétorique et la poétique – je réponds : a) son domaine est plus vaste ; b) elle comprend des objets que ces deux sciences ont en commun aussi bien avec d’autres arts libéraux qu’entre elles, et que notre traité soumettra une fois pour toutes, en la place qui leur convient, à un examen attentif qui permettra à tout art, quel qu’il soit, de cultiver

1. ------------------------------------------------- Erasme, Eloge de la folie L'erreur est énorme de faire résider le bonheur dans les réalités : il dépend de l'opinion qu'on a d'elles. Il y a tant d'obscurité, tant de diversité dans les choses humaines, qu'il est impossible d'en rien élucider, comme l'ont justement dit mes Académiciens1, « les moins orgueilleux des philosophes »; ou bien, si quelqu'un arrive à la connaissance, c'est bien souvent aux dépens de son bonheur. L'esprit de l'homme

globale, dans l'optique d'un but Création → pour l'homme, qui est celui pour qui toutes les choses ont été crées. L'Homme est la fin de la création, ce qui lui donne tous les droits Opposition entre finalité et causalité: La finalité régit des objets, elle vaut pour la nature, ensemble d'objets. Elle caractérise aussi l'activité intelligente. Preuve physico-théologique: présence d'un Dieu ou d'un principe démontré par la nature : preuve ontologique de Dieu : on présuppose Dieu=être le plus parfait

des origines et origines du roman, Paris, Grasset, 1972. 24. Laplanche, J., et Pontalis, J.-B., Vocabulaire de la psychanalyse, Paris, PUF, 1998, p. 427. 25. « L’essentiel est de saisir comment cela "se fait texte" ; comment cela s’est fait d’abord objet d’art, comment cela devient ensuite foyer permanent d’émotions affectives autant qu’esthétiques. » Bellemin-Noël, J., « Textanalyse et psychanalyse », dans J. Bellemin-Noël, Interlignes, Essais de textanalyse, Lille, Presses universitaires de Lille

Durand, forge le terme sur le modèle de la psychocritique de Charles Mauron. Mais à l’inverse de la psychocritique, où une approche particulière est appliquée à un objet, il s’agit apparemment dans la mythocritique d’appliquer un objet à un autre objet, de lire le texte sous l’angle du mythe, un récit à travers un récit. Cette méthode paradoxale présuppose en réalité un statut particulier accordé au mythe. Tout d’abord, comme le rappellent Danièle Chauvin et Philippe Walter dans la préface de Questions

et un type de média (la BD), et ça marchait très bien. Les premières adaptations de Tintin en dessin animé sont repprochées par les lecteurs: (a) le dessin animé n'est pas bien car il est trop immobile (Tintin ne court pas assez vite), mais c'est paradoxal car l'univers de la BD est immobile; (b) la voix du professeur Tournesol n'est pas sa voix (autre paradoxe car la BD est muette). La BD c’est donc mieux car l’imaginaire occupe une grande place. L'idée du mouvement, c'est le lecteur qui l'injecte

jusque-là : militaire, commerciale, esthétique» (alors que la géographie dite pure voulait à tout prix s’en débarrasser). La géographie comme pédagogie de la nature Devenu réellement scientifique avec C.Ritter la géographie peut devenir enfin un objet de transmission du savoir et se doter d’une démarche pédagogique originale. C’est ce que l’on cherche à faire encore aujourd’hui avec les méthodes transdisciplinaires (48) et empiriques en particulier dans le domaine de l’éducation à l’environnement

........................................................322 Séquence 20 Parcours de lecteur : M. de Montaigne, « Sur le démenti », Les Essais, 1595 ............................................................................327 Vers le bac : « Éloge et blâme du souverain » ...................................................339 Chapitre 6 Les réécritures, du XVIIe à nos jours – série L ...............341 Séquence 21 Réécrire pour faire œuvre nouvelle .......................................

Publié en 1954, 11 ans après la mort de sa mère et 14 ans avant Belle du seigneur. 1) Brève analyse du titre Avec le terme « livre »: terme peu disqualifiant au niveau générique. Détermine l'objet et non le genre. « De ma mère »: soit objet du possesseur du livre soit le sujet du livre. Introduction du « je ». Niveau énonciatif simplement le texte semble indiquer un caractère autobiographique, écriture personnelle. 2) La question du genre Le livre de ma mère semble appartenir