éloge Funebre

carrière politique et à accomplir le cursus honorum. Texte 2 et 3 p 67 : Q1 : Présentez les deux documents. Q2 : Utilisez ces 2 textes pour montrer qu’Auguste puis ses successeurs sont les vrais maîtres de Rome. Réponse : Auguste dans son éloge funèbre rappelle qu’il a exercé durant sa vie publique les fonctions politiques les plus prestigieuses et qu’il fut «acclamé 21 fois imperator », titre réservé aux chefs militaires victorieux. Mais surtout il rappelle qu’il fut «prince du Sénat pendant

l'époque.Mozart à également écrit pour le grade de compagnon un chant «le voyage des compagnons» KV478, vraisemblablement composé pour l'arrivée de son père à ce grade en avril 1785.De ses compositions pour la Maîtrise, on retiendra l'émouvante ode funèbre Maçonnique, écrite spécifiquement pour l'élévation au grade de Maître, et qui fut par la suite jouée en L. à la mémoires de 2 FF passés à l'Orient éternel.D'un ensemble de musiques rituelles inachevées, il ne reste que quelques fragments (K83 et 95)

la même année, place de la Révolution à LaHavane, Fidel Castro rappelait l’intégrité révolutionnaire totale du Che et ses qualités exceptionnelles: «[Son] exemple doit être le modèle idéal pour notre peuple!» Le même jour, en Argentine, l’oraison funèbre d’un prêtre progressiste dit: « Les deux tiers de l’humanité, opprimés, sont bouleversés par sa mort. Le dernier tiers, dans le secret de son âme, n’ignore pas que l’avenir de l’Histoire, si nous marchons vers un monde meilleur, appartient au Che

à 4. prudent et rusé 3. Écho au texte 2, La Fontaine, « Les Obsèques de la Lionne » Bossuet, Oraison funèbre de Henriette-Anne d’Angleterre, 1670 Henriette-Anne d’Angleterre, épouse de Monsieur, frère du roi, meurt brutalement, à l’âge de 26 ans, le 30 juin 1670. Dans cette oraison funèbre qu’il prononce lors des funérailles de la princesse, Bossuet (1627-1704), homme d’Église, mêle éloge de la défunte et leçon religieuse. Nous devrions être assez convaincus de notre néant ; mais s’il faut des

 qui vient juste de décrire, et ceci  sans complaisance, la décrépitude de son corps. Ronsard, face au défi de raconter une vieillesse dévastée, ne semble pas vouloir couper le lien avec les trois vers précédents, bien au contraire. C'est une image funèbre sans doute, mais vivante, qu'il veut nous faire parvenir. Mais en insistant cette fois sur ses propres réactions, sur ce qu'il ressent.   Avec une sensibilité d'écorché vif et une acuité confondante. Ce qui est important à souligner dès à présent

a une racine qui vient de ˮ épi ˮ : ˮ sur ˮ et ˮ taphos ˮ: ˮ tombe ˮ qui signifie une inscription funéraire. 3/ Une épitaphe. Une épitaphe est un genre littéraire, c'est en quelque sorte un éloge funèbre. En grec ce mot signifie inscription funéraire. Dans cette fable, nous observons une inscription funéraire car le vieil homme émet une prédiction en disant qu'ils mourront avant lui. ˮ Je puis enfin compter l'aurore

Renaissance : - Sur le mort de Marie de Pierre de Ronsard p5 le baroque -A mademoiselle de Rohan, sur la mort de Madame de la Duchesse de p6 Nevers de Théophile de Viau -vers funèbre sur la mort d'Henri le Grand de F. De Malherbe p10 Classicisme -la mort de Louis XIII de P.Corneil p12

parrainage de Pindare et Horace (deux poètes de l'Antiquité), que Ronsard publie ce poème. Il tente de séduire Cassandre qu'il a rencontrée cinq ans plus tôt. La métaphore filée de la rose constitue une véritable invitation à l'amour et Ronsard y livre un éloge du carpe diem. À Cassandre Mignonne, allons voir si la rose Qui ce matin avoit desclose Sa robe de pourpre au Soleil, A point perdu ceste vesprée Les plis de sa robe pourprée, Et son teint au vostre pareil. Las ! voyez comme en peu d'espace

affranchis qui pourront exercer pleinement les droits du citoyen. Les femmes passent de la tutelle de leur père à celle du mari mais elles sont plus libres qu’en Grèce. Les matrones et les veuves disposent des droits civils du citoyen (héritage, éloge funèbre) mais pas des droits politiques. Sont exclus de la citoyenneté les étrangers (pérégrins) et les esclaves. Si la possession du statut du citoyen est plus ouverte qu’à Athènes, cela reste un privilège qui offre un certain nombre de droits et de devoirs

aucune scène. Cette absence de divisions peut représenter le mécanisme tragique de la fatalité qu’on ne peut arrêter. 2) Scène d’exposition : « Voilà. Ces personnages vont vous jouer l’histoire d’Antigone. […] Quiconque osera lui rendre les devoirs funèbres sera impitoyablement puni de mort. ». Le Prologue présente les personnages de la pièce, tous présents sur scène, introduit l’histoire tragique et résume l’histoire des fils d’Œdipe : Etéocle et Polynice. Il s’adresse au public dans un niveau de