éducation Enfant Bourgeoisie 1850

doit vivre son christianisme dans la vie quotidienne « mondaine »). Issue d'insatisfactions religieuses, la Réforme s'enracinait dans des structures sociales, économiques et politiques. Le déclin de la féodalité, la montée de nouvelles forces (bourgeoisie et pouvoir monarchique) lui donnèrent la possibilité de s'affirmer tout en lui traçant ses limites. La peur du protestantisme radical, qui estimait que la liberté chrétienne impliquait une libération sociale (certains mouvements anabaptistes) ou

processus est identique dans chaque pays, mais il ne s’est pas passé tout à fait au même moment en France. Ce changement de société découle de quatre éléments : * Les castes ancestrales sont détruites : la bourgeoisie prend la place dominante. * Le peuple intervient par le suffrage : plus de masse soumise. * Tous les mouvements politiques sont persuadés que l’on peut construire un monde nouveau et différent. * L’église

religieuses, ➔ chargé de la société. Noblesse : fonction militaire (défense de la société) . Ces deux premières ➔ fonctions impliquaient des privilèges. Le noble ne payait pas d'impôts. Puis la fonction de production : commerçants, paysans, bourgeoisie. ➔ ! Fonction la plus importante est la spirituelle. Même le roi de France devait respecter les valeurs religieuses. Aujourd’hui renversement des fonctions. Fonction importante aujourd’hui est la fonction économique. Avant 1789, la France

"nous devons donc suivre l'unité de la nature et ne point en scinder l'étude".  Découverte astronomie, math, médecine - Elle est anti-académique et sociale (mise en place centre éducation populaire pour divulguer nouvelles idées fondée sur expérience, pluridisciplinaire + remise en cause droit divin royal par bourgeoisie) - Son caractère religieux est très prononcé, on parle souvent de « révolution puritaine ». B. Une révolution essentiellement religieuse. L’esprit du capitalisme adapte la religion

changent la société française, une nouvelle classe émerge, celle du prolétariat et des ouvriers, plus mobile, moins conservatrice que les paysans. Profitant de l’affaiblissement de l'influence de la noblesse et du clergé sur les affaires du pays, la bourgeoisie libérale et réformatrice s’affirme désormais comme la classe sociale déterminante, stimulant l'essor industriel. Tout au long de ce siècla la France a vécu deux empires (1803-1814; 1852-1870), trois monarchies (1815-1824;1825-1830; 1830-1848),

d'auteurs placent leur espoir dans un pouvoir royal fort et incontesté. 2 auteurs; - Jean Bodin (1530-1596) - Jacques Bossuet (1627-1704) Ce sont des membres du tiers ordre, à cette époque c'est la bourgeoisie qui a le plus à perdre d'un état de guerre civile, ainsi vive réaction de cette bourgeoisie en faveur d'un pouvoir fort capable de rétablir la paix. Au sein du petit peuple, d'instinct, beaucoup font confiance au roi, qui apparaît comme un protecteur ( adhésion populaire autour du personnage

• Natalité : 40/1000hab • Mortalité : 35/1000hab Ces taux de 1750 sont très élevé et étonnement proche. Il n’y a que 5/1000hab de différence ce qui veut dire que la population augmente très doucement. Il y a 1 enfant sur 2 qui meurent. Avoir des enfants à cette époque permet de garantir ses vieux jours c’est une forme de sécurité social personnel (puisque les sécurités social n’existaient pas encore à l’époque). 2 Une grande fragilité Cette fragilité est due :

organisé en différents niveaux (primaire, collège, etc.) d’où son aspect unifié. L’obligation scolaire est de 6 à 16ans mais souvent on met nos enfants à l’école à l’âge de 3ans alors que ce n’est pas une école obligatoire. Cet aspect unifié est assez récent avec, par exemple, « le collège unique » dans les années 1970 ayant l’idée de mettre tous les enfants ensembles dans un même collège est une idée récente. L’école est un objet politique qui a toujours beaucoup intéressé les politiques car elle

démographique. Suite à cette croissance rapide de la population, les villes se développent de façon anarchique, les conditions sanitaires sont horribles, les maladies nombreuses et les autorités quasi-absentes. Les villes ne sont plus « réservées » qu’à la bourgeoisie, les classes sociales plus pauvres y sont désormais représentées en masse. Par conséquent, les nobles ne sont plus les seuls à assister aux combats des plus pauvres, la classe ouvrière se passionne aussi pour ces combats de rue. Même si ce sport

comiques, d'un comique bien faible, de l'époque. Il est certain qu'à la lumière des œuvres suivantes de Dickens, nous pouvons voir dans sa première une sorte de manifeste du désir de se consacrer à décrire avec une sympathie, parfois exagérée, la bourgeoisie la plus humble, et de la volonté de prouver que dans cette classe sociale d'apparence assez terne, on peut découvrir des personnages de légende et de fable. Avec des illustrations de Cruikshank, les esquisses furent publiées tout d'abord dans le