éco Quartier

Limites8 1) L'exemple de Breda, ville moyenne8 2) Le paradoxe des circuits courts9 III. Le pilier social, indispensable dans une conception durable9 A) Les principes et objectifs10 1. Le processus collectif : facteur déterminant de l’émergence d’un quartier ou d’une ville durable11 2) Focus sur la qualité de vie11 3) La solidarité au cœur de la ville durable12 B) Le constat et les limites12 1) Les modèles à travers le Monde13 2) Un exemple précis : Malmö13 3) Un bilan parfois mitigé15 Conclusion16

remplaçant simplement une lampe à incandescence 100 W par une fluocompacte OSRAM DULUX® EL LONGLIFE 20 W (durée de vie : 15 000 h) o Exemple 2 : Hôtel SAS Radisson à Francfort : le remplacement de 5000 lampes standard par des HALOGEN ECO permettent de réduire la facture d‘électricité de 30 000 € par an - Bénéfice environnemental : Moins d'émissions de CO2 : Environ 1/3 de l'électricité utilisée dans le monde pour l'éclairage peut être économisée. Ces économies d'environ 900

voient marginalisés à l'echelle mondiale. Insularité, faute d'accés a la mer ou manque d'infrastructures limite leur intégration. Ces contraintes apparaissent aussi au niveau régionale, d'une ville ou un quartier. · Les PMA et leurs sociétés font figures d'exclus de la mondialisation. Eco. Peu diversifiée et trop grande concurrence au Nord ( coton Africain ). Les exploitation de ressources locales par des entreprises étrangère ralentisse le développement. Le « brain drain » prive le Sud de

de l’urbanisation sur les campagnes ?  82% de la population française résident dans les villes. La France est donc, un pays de citadins. Les grandes dynamiques des villes, aujourd’hui, sont l’aménagement des centres villes et la rénovation des quartiers défavorisés des banlieues. Les villes sont donc confrontés à des enjeux cruciaux. I. Une France Urbaine A la fin de la 2GM ( 45-46), il n’y avait que 53% d’urbain en France. Les espaces urbains couvrent 41% du territoire français. L’étalement urbain

-son capital éco et son patrimoine -capital culturel : niveau d’étude, connaissance en culture savante -son capital sociale : réseau de relations -son capital symbolique : nom de rue • Son habitus : ensemble d’habitudes liées à des pratiques culturelles ou à un style de vie. Quelles sont les classes sociales ? • La classe dominante : ayant un capital éco et culturel élevé • La classe moyenne : niveau moyen de capital éco et culturel

de l’hyperréalisme  et aussi un symbole de la sté de c°, de ses logiques et de ses dérives, critiques. o La sté de c° apparaît comme une triple réalité :  réalité sociale, l’extension des principes de c°, massification, démocratisation.  Eco, qui cadre avec une sté de c° de masse.  Réalité idéologique, puisque le consumérisme pose le principe d’une c° comme étant un idéal de vie à atteindre o Elle est strictement corrélée à un certain moment historique : les 30G qui correspondent à

obole , bouger . Il ya des Villes ous Le Réseau intérêt social, ainsi OU MOINS Efficace . Il ya des Villes / quartiers ous Tout le monde se connait par quartier ous par ville . C'est la Prévalence des privilèges forts . Maïs Quand le Souhaité C'EST de bouger , plus dur PARCE Qu'on ne connait personne Dehors d'Autres Villes fonctionnent Mieux PARCE Qué Les Gens se connaissent Entre les quartiers Entre EUX ous Entre les Villes . Elles fonctionnent Mieux Pour Les boulots . De la « ville- linge» à la

agrandissement des autoroutes, les partisans de cette solution 4 Nouveau pont et agrandissement des autoroutes = incohérence pour le futur 6 Les villes qui répondent aux nouvelles exigences du développement durable 8 Le développement de quartier vert et la revitalisation des vieux bâtiments coûtent cher 11 Une question d’opinion 12 En guise de conclusion 15 Annexe 1 – Interview avec François Bélanger, coordonnateur (énergie, transport et bâtiment) chez Équiterre 15 Bibliographie

œuvre du programme Concorde ou du sous-marin nucléaire Le Redoutable. - Une monnaie forte : le nouveau franc en 1959 2) Cette politique extérieure de grandeur cache un malaise social et une usure politique - un paradoxe : une forte croissance éco et un enrichissement général des Français, mais une persistance des conflits sociaux dans les mines par ex (revendications salariales) ; mouvements paysans également - crise plus générale de la société et des valeurs, peur des inégalités Cette crise

millions d’habitants, par l’O.N.U.) = pôles de richesse, développement + de modernité. 1 VILLE Contrastes socio-spatiaux : quartiers pauvres (bidonvilles) ‡ quartiers modernes (boutiques luxe, quartiers sécurisés avec pop. aisé protégés des arrivants). 1 VILLE Contrastes socio-spatiaux : quartiers pauvres (bidonvilles) ‡ quartiers modernes (boutiques luxe, quartiers sécurisés avec pop. aisé protégés des arrivants). 2.4 Réduire les inégalités : quelles solutions ? Problème des