Whist

et, après les adieux ou plutôt le bonjour, les hôtes du château s’allèrent coucher. Charles se traînait à la rampe, les genoux lui rentraient dans le corps. Il avait passé cinq heures de suite, tout debout devant les tables, à regarder jouer au whist sans y rien comprendre. Aussi poussa-t-il un grand soupir de satisfaction lorsqu’il eut retiré ses bottes. 80 Elle s’acheta un plan de Paris, et, du bout de son doigt, sur la carte, elle faisait des courses dans la capitale. Elle remontait les

à l'air de déesse » ( p. 157) deviendra plus tard la comtesse de Savigny, après l'accomplissement méticuleux d'un meurtre qui ne l'empêchera pas d'être heureuse. La comtesse du Tremblay de Stasseville dans « Le Dessous de cartes d'une partie de whist » La comtesse est une femme impénétrable d'une quarantaine d'années, « froide à vous faire tousser », à « l'esprit très extérieur et très mordant »  et aux yeux pers, semblables à « deux étoiles fixes » couronnant «  ce visage sans le réchauffer »

les autres attestaient que -- si ce n'est sur ce chemin direct qu'il parcourait chaque jour pour venir de sa maison au club -- personne ne pouvait prétendre l'avoir jamais vu ailleurs. Son seul passe-temps était de lire les journaux et de jouer au whist. A ce jeu du silence, si bien approprié à sa nature, il gagnait souvent, mais ses gains n'entraient jamais dans sa bourse et figuraient pour une somme importante à son budget de charité. D'ailleurs, il faut le remarquer, Mr. Fogg jouait évidemment

s’appesantit dans son confort. Sorte d’antihéros, qui n’a pas de qualité physique particulière⇒ “Charles se traînait à la rampe, les genoux lui rentraient dans le ventre. Il avait passé cinq heures de suite, tout debout devant les tables, à regarder jouer au whist sans rien y comprendre.” : au contraire d’Emma qui est actrice du bal et qui s’amuse, Charles est un figurant plat, qui n’a guère mieux brillé durant ses noces, avec sa conversation “plate comme un trottoir de rue”.⇒ Charles devient à travers le roman

balzacien, 1981. André Vandegans, Fascinations et nostalgies balzaciennes dans 'Modeste Mignon': du propos à l'effet, Bulletin de l'Académie royale de Langue et de Littérature françaises, Belgique, 1982. Vincent Laisney, Modeste Mignon' ou 'le whist des prétendus', L'Année balzacienne 2005, PUF, Paris, 2005.   Philippe Berthier, Philippe Berthier présente 'Eugénie Grandet', Gallimard, "Foliothèque", Paris, 1992.   Eric Bordas, Balzac, discours et détours. Pour une stylistique de l'énonciation

de voyage. Il a été publié en 1873. 2°) Résumé complet : • Le pari Mercredi 2 octobre1872, Monsieur Philéas Fogg, un riche anglais de la haute société, se prépare comme tous les jours pour aller au Reform-Club de Londres où il joue au whist avec l’ingénieur Andrew Stuart, les banquiers John Sullivan et Samuel Fallentin, le brasseur Thomas Flanagan et Gauthier Ralph. Avant de partir il fait la connaissance de son nouveau domestique français qui s’appelle Passepartout lequel peut commencer

Nucingen | Les illusions perdues | 1836-1843, l’action se déroule entre 1821 et 1822 | Dans cette œuvre, Eugène de Rastignac devient l’initiateur de Lucien Chardon, un arriviste en provenance d’Angoulême, il lui apprend les jeux de hasards tels que le whist et le présente à la jeune noblesse parisienne. Rastignac devient maintenant habitué aux luttes d’influences, il sait se mettre en valeur grâce à des confidences et des plaisanteries, pour écarté des rivaux possibles. | Le cabinet des antiques | 1837

puis obtient enfin une chronique à caractère Bibliographie de Jules Barbey D’Aurevilly Ode aux héros des Thermopyles, 1825 Le Cachet d’Onyx, 1831 Léa, 1832 L’Amour impossible, 1841 La Bague d’Annibal, 1842 Les dessous de cartes d’une partie de whist, 1850 Une vieille maîtresse, 1851 L’ensorcelée, 1852 Poussières, 1854 Le Chevalier des touches, 1863 Un prêtre marié, 1864 Le plus bel amour de Don Juan, 1867 Les Diaboliques, 1874 Une histoire sans nom, 1882 Une page d’histoire, 1882 Ce qui ne meurt

mariage à la mode – Le petit déjeuner / Le tête à têteLa noce est passée depuis un temps indéterminé. Les époux se retrouvent au matin après une nuit de débauche. On distingue au sol les symboles de leurs activités nocturnes. Un livre de règles du whist (ancêtre du bridge), est ouvert aux pieds de la jeune femme qui a joué tard dans la nuit (les chandelles sont entièrement consumées). Le sabre au fourreau brisé symbolise quant à lui les frasques nocturnes du vicomte. Le chien sort de sa poche un bonnet

compter et sa langue, l’allemand. Le prince Wladimir Bielkowski et Ardendo Baldi lui apprirent chacun sa langue, soit l’italien et le polonais. Lui sait déjà le russe et le français que sa mère lui a appris. Bielowski lui appris à monter, les échecs, le whist. Fabian Taylor (Fabi), lord Gravensdale lui apprit e goût des costume et des chaussures et à dépenser sans tenir de comptes. Plus tard, un homme vint annoncer à Julius que son père était mort. Lafcadio partit alors aussitôt laissant au portierun paquet