Whist

les nombreux portraits : la description de l’église de Valognes dans A un dîner d’athées, le portrait du père de Mesnilgrand dans la même nouvelle, le portrait du marquis de St Albans puis celui d’Hartford dans le dessous de cartes d’une partie de Whist … Cécile Rumeau parle d’une logique de substitution : le récit qui se présente à l’ouverture du texte n’est en fait que secondaire, et l’essentiel prend place dans le récit second. Le début des nouvelles (nous appelons début la mise en place du récit

neuf jours  Total      personnage:    Les personnages principaux    Phileas Fogg : Flegmatique, richissime et énigmatique gentleman londonien. Il mène une  existence méticuleusement réglée passant ses journées au Reform Club à lire le journal et à  jouer au whist    Jean Passepartout : domestique français de Phileas Fogg, âgé d'une trentaine d'années, qui  l'accompagne dans son tour du monde. Il est un ancien acrobate.    Fix : Policier britannique qui va poursuivre Phileas Fogg dans tous les pays traversés

Le Tour du Monde en quatre-vingts jours Le schéma narratif C’est l’histoire d’un certain monsieur Phileas Fogg, un jeune riche anglais de la haute société, qui se prépare comme tous les jours pour aller au Reform-Club de Londres ou il joue au whist. Avant de partir il fait la connaissance de son nouveau domestique français qui s′appelle Passepartout, qui commencera à travailler pour lui immédiatement. Durant la partie de cartes les joueurs parlent d′un vol commis à la Banque d′Angleterre. Ils

}} en montant l'escalier de l'escalier* Charles se traînait à la rampe ....[illis.]... les genoux lui rentraient dans le corps comme il disait. tout il avait passé cinq heures de suite, tout debout devant les rien rien tables, à regarder jouer au whist sans y rien comprendre. gd grand Aussi poussa-t-il un profond soupir de satisfaction lorsqu'il eut retiré ses bottes. I, chap.8 : La valse avec le vicomte - Copiste, folio 84 [En vert, les suppressions demandées par Laurent-Pichat pour la Revue de

encore et, après les adieux ou plutôt le bonjour, les hôtes du château s'allèrent coucher. Charles se traînait à la rampe, les genoux lui rentraient dans le corps. Il avait passé cinq heures de suite, tout debout devant les tables, à regarder jouer au whist sans y rien comprendre. Aussi poussa-t-il un grand soupir de satisfaction lorsqu'il eut retiré ses bottes. Emma mit un châle sur ses épaules, ouvrit la fenêtre et s'accouda. La nuit était noire. Quelques gouttes de pluie tombaient. Elle aspira le

des Bertaux Charles ne comprends rien à cet univers et n’a pas envie d’y pénétrer . « Il ne comprend rien à cet univers, ET n'a guère envie d'y pénétrer. Il avait passé cinq heures de suite, tout debout devant les tables, à regarder jouer au whist, sans y rien comprendre. Aussi poussa-t-il un soupir de satisfaction lorsqu'il eut retiré ses bottes. «  A la fin du passage la réalité revient avec ( se trainait, expression populaire , retiré ses bottes , contre Charles qui dormait ). Il faut

Le monde de l’art est un monde totalement différent de celui des affaires, l.1 et 2 « aucune de ces intelligences […] ne pouvait comprendre la poésie ». Ils n’ont pas tous la même intelligence. Ridicule sur l’aristocratie « Fifine », « Lili ». Le Whist qui passa spirituelle, alors que ce sont les poèmes qui le sont. Champ lexical de l’intelligence : « savait » l.1, « intelligences » l.1, «

et le corps enseignant apprécie peu ce nouveau venu qui sourit pendant les services religieux et qui est de plus un ami déclaré de David Hume. Pourtant Smith devient relativement connu à Glasgow, où il participe à des cercles intellectuels, joue au whist le soir… Il est apprécié de ses étudiants : ses manières et son allure peu commune lui valent d’être imité, et on voit même de petits bustes de lui dans certaines librairies de la ville9. Ses fréquents hochements de tête et sa diction maladroite dérivaient

et le corps enseignant apprécie peu ce nouveau venu qui sourit pendant les services religieux et qui est de plus un ami déclaré de David Hume. Pourtant Smith devient relativement connu à Glasgow, où il participe à des cercles intellectuels, joue au whist le soir… Il est apprécié de ses étudiants : ses manières et son allure peu commune lui valent d’être imité, et on voit même de petits bustes de lui dans certaines librairies de la ville9. Ses fréquents hochements de tête et sa diction maladroite dérivaient

plutôt le bonjour, les hôtes du château s'allèrent coucher. Monsieur et Madame Bovary rentrèrent . Charles se traînait à la rampe, encore triste de la soirée. Il avait passé cinq heures de suite , tout debout devant les tables, à regarder jouer au whist, sans y rien comprendre. Aussi poussa-t-il un grand soupir de satisfaction lorsqu'il eut retiré ses bottes. Il alla directement au lit , tandis que sa femme était accoudée à la fenêtre.