Visión

(efficacité lumineuse) varie avec la longueur d’onde. Vision photopique : vision de jour par opposition a la vision scotopique qui est la vision de nuit. La vision photopique se fait principalement grâce aux cônes se trouvant sur la rétine de l’œil. La sensibilité de l’œil en vision photopique n’est pas la même pour toutes les longueurs d’ondes. Le maximum de sensibilité de l’œil est obtenu pour une longueur d’onde de 555 nm. En vision scotopique, le maximum de sensibilité est atteint après

coloristes modernes à la robustesse des maîtres anciens. Ces théories; techniques; études,... -Dans le peintre il y a deux chose: le cerveau et l'œil, tous deux doivent s(entraider; il faut travailleur à leur développement mutuel: à l'œil par la vision de la nature, au cerveau par la logique des sensations organisées qui donne les moyens d'expressions. - « Peindre, c'est enregistrer ses sensations colorées » - « Le dessin et la couleur ne sont point distincts; au fur et à mesure que l'on

individuelles : L’âge, vision nocturne, vision diurne L’acuité visuelle, les corrections éventuelles La perception du relief, du mouvement La vision des couleurs et l’exigence de qualité et/ou de la sécurité. 2. LA SENSIBILITE DE L’ŒIL 1. Vision photopique : Temps ensoleillé Vision nette, précise et colorée Rôle des cellules à cônes. VISION PHOTOPIQUE 2.2. Vision mésopique : Ciel couvert Vision plus ou moins floue 2.3. Vision scotopique : Nuit Vision floue, non colorée Rôle

"erreurs" d'interprétation sont des illusions d'optique, qui ne sont pas perçues de la même façon par chacun d'entre nous (nous n'avons pas tous le même "vécu", ni les mêmes images en mémoire)... Les illusions sont les témoins des mécanismes de la vision. Elles confirment que notre perception du monde est assez éloignée de la photographie. Elles sont le résultat : - d'une stimulation des photorécepteurs rétiniens, qui peuvent subir des phénomènes de fatigue. - et surtout d'une construction mentale

cryptique (fondre la forme de l’animal, gommer sa silhouette qui créer une confusion ex : la girafe), la ressemblance spécifique (ressemblance exacte avec un objet de l’environnement comme le phasme). Sans la vision il n’y aurait pas de camouflage et sans lumière il n’y aurait pas de vision. Pour l’observateur la cible est une image. La perspective chromatique : la perception des couleurs dans la profondeur La perspective de mouvement… Principes de camouflage : La dispersion (répartition

une spécialité: -La zone V3 est spécialisée dans les formes -La zone V4 est spécialisée dans les couleurs -La zone V5 est spécialisée das les mouvements B/ Synthèse La vision définitive est le résultat de la mise en commun de toutes ces analyses. Une lésion de ses zones peut perturber considérablement la vision et la reconnaissance de ce qui est observé. Les aires visuelles sont en contact permanent avec d'autre aire du cortex avec lesquelles elles échangent des informations. Parfois

Mme L mesurée par l’échelle de Monoyer est toujours sans correction de 2/10.(1 pt) Les verres de Mme L corrigent toujours parfaitement la vision de loin puisque avec eux elle a 10/10. (1 pt) La vision de près mesurée par l’échelle de Parinaud est toujours satisfaisante et ne nécessite aucune correction. (1 pt) Le champ visuel est bon de même que sa vision des contrastes. (1 pt) Le fond de son œil est normal : sa rétine n’a pas été atteinte et la pression intraoculaire toujours normale. (1 pt)

diminution de l’acuité visuelle dans l’axe optique qui peut conduire jusqu’à la cécité en vision centrale (tache noire). La population vieillissant, l’incidence de cette maladie va encore progresser et on prévoit un doublement des cas graves d’ici 2020. Or, le document 2 nous rappelle que cette vision centrale est cruciale car l’acuité visuelle y est maximale, allant jusqu’à 10 dixièmes alors qu’elle est médiocre en vision périphérique avec une acuité de moins de 2 dixièmes à partir de 15° d’excentricité

IRM...) ont permis de montrer le trajet des messages nerveux de la rétine au cortex visuel. Plusieurs aires corticales participent à la vision. L’imagerie fonctionnelle du cerveau permet d’observer leur activation lorsque l’on observe des formes, des mouvements. Des substances comme le LSD perturbent le fonctionnement des aires cérébrales associées à la vision et provoquent des hallucinations qui peuvent dériver vers des perturbations cérébrales graves et définitives. Le cortex visuel reçoit

couleurs précises et nuancées, « surface vernie » 4 Le caractère déjà cubiste : l.5 « à moins que je la visse tout à coup de côté » Il la voit de très près : l.11-12 « sa figure ponctuée de petits points bruns » ce qui fait penser à l’impressionnisme. Vision « à la loupe » ! Pourquoi la voir de si près ? Tenter de la saisir, de la posséder… Rôle de l’observateur ? Regard à la fois précis et changeant. Voir l.30 à 35 : Albertine change et fait changer le narrateur. Quels sentiments éprouve-t-il